Les Chiens et la Bicyclette
Publié : ven. 20 nov. 2020 17:58
Je constate que, dans beaucoup d'articles, il est fait allusion à nos relations avec les chiens...
Je proposerais que l'on regroupe tout cela sous le même titre, afin d'éviter la dispersion.
Je vais commencer par mettre quelques liens sur les posts antérieurs
viewtopic.php?p=54120#p54120
viewtopic.php?p=5583#p5583
viewtopic.php?f=4&t=18
viewtopic.php?f=8&t=2158
En fait, si je mets tout çà, c'est parce que je fais quelques rangements de photos. Je retrouve alors une extraordinaire période qui a duré 12 ans (de 1992 à 2004) où j'avais adopté un Huskye âgé de 2 ans et avec lequel j'ai vécu des périodes intenses.
Le Chien Huskye a une endurance exceptionnelle, mais il faut lui donner l'occasion de travailler. A une époque, c'était un chien très prisé : beaucoup de gens en adoptaient, mais ne leur donnaient pas l'occasion de vivre leur vraie vie.
Ayant la chance d'habiter dans les Alpes et de courir les montagnes chaque fois que cela m'est possible, à cette période je l'ai emmené avec moi le plus souvent possible (hors Parc National, car interdit, et hors sorties vélo de route longues). Sinon, que ce soit à skis de randonnée ou bien à vélo, il me suivait (ou plutôt me précédait) de partout.
Par contre, je ne le lâchais jamais en dehors de l'hiver car il aurait vite fait d'aller trouver un troupeau et d'y mettre le bazar
Il était attaché à moi par une laisse-enrouleur fixée à ma taille, il était équipé d'un harnais. La laisse glissait devant le cintre papillon, sans jamais me poser le moindre problème.
En ski de randonnée, je le lâchais à la descente.
Dès la première année (en 92) je lui ai fait battre un record de distance pour un Huskye : en VTT, 15 jours avant le Triathlon Embrunman, il partait faire avec moi une sortie à la journée de 110 kilomètres et 3000 mètres de dénivelé.
Pour comparaison, les étapes de l'Itaroad - course de chiens de traineaux en Alaska - font environ 80 kms par jour ! Bon, ceci est resté dans la discrétion du quartier, sans "tapage médiatique".
15 jours plus tard, j'avais l'immense bonheur d'être "Finisher" sur l'Embrunman-Triathlon...Pour fêter cela, 3 ou 4 jours plus tard, je montais au Col du Parpaillon (il faisait bon être jeune !) avec mon Cher Toutou...voici les photos de l'époque, ce jour là
Je n'ai plus jamais pris de chien : j'avais trop donné de ma personne, et sa mort -normale à 14 ans pour un Huskye- avait été tout de même un déchirement.
C'est bien pour cela que je dis bien que ce ne sont pas les chiens que je n'aime pas, mais les abrutis de propriétaires qui n'en sont pas maîtres ni responsables.
Je proposerais que l'on regroupe tout cela sous le même titre, afin d'éviter la dispersion.
Je vais commencer par mettre quelques liens sur les posts antérieurs
viewtopic.php?p=54120#p54120
viewtopic.php?p=5583#p5583
viewtopic.php?f=4&t=18
viewtopic.php?f=8&t=2158
En fait, si je mets tout çà, c'est parce que je fais quelques rangements de photos. Je retrouve alors une extraordinaire période qui a duré 12 ans (de 1992 à 2004) où j'avais adopté un Huskye âgé de 2 ans et avec lequel j'ai vécu des périodes intenses.
Le Chien Huskye a une endurance exceptionnelle, mais il faut lui donner l'occasion de travailler. A une époque, c'était un chien très prisé : beaucoup de gens en adoptaient, mais ne leur donnaient pas l'occasion de vivre leur vraie vie.
Ayant la chance d'habiter dans les Alpes et de courir les montagnes chaque fois que cela m'est possible, à cette période je l'ai emmené avec moi le plus souvent possible (hors Parc National, car interdit, et hors sorties vélo de route longues). Sinon, que ce soit à skis de randonnée ou bien à vélo, il me suivait (ou plutôt me précédait) de partout.
Par contre, je ne le lâchais jamais en dehors de l'hiver car il aurait vite fait d'aller trouver un troupeau et d'y mettre le bazar
Il était attaché à moi par une laisse-enrouleur fixée à ma taille, il était équipé d'un harnais. La laisse glissait devant le cintre papillon, sans jamais me poser le moindre problème.
En ski de randonnée, je le lâchais à la descente.
Dès la première année (en 92) je lui ai fait battre un record de distance pour un Huskye : en VTT, 15 jours avant le Triathlon Embrunman, il partait faire avec moi une sortie à la journée de 110 kilomètres et 3000 mètres de dénivelé.
Pour comparaison, les étapes de l'Itaroad - course de chiens de traineaux en Alaska - font environ 80 kms par jour ! Bon, ceci est resté dans la discrétion du quartier, sans "tapage médiatique".
15 jours plus tard, j'avais l'immense bonheur d'être "Finisher" sur l'Embrunman-Triathlon...Pour fêter cela, 3 ou 4 jours plus tard, je montais au Col du Parpaillon (il faisait bon être jeune !) avec mon Cher Toutou...voici les photos de l'époque, ce jour là
Je n'ai plus jamais pris de chien : j'avais trop donné de ma personne, et sa mort -normale à 14 ans pour un Huskye- avait été tout de même un déchirement.
C'est bien pour cela que je dis bien que ce ne sont pas les chiens que je n'aime pas, mais les abrutis de propriétaires qui n'en sont pas maîtres ni responsables.