Tour de la Nièvre en deux étapes
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Re: Tour de la Nièvre en deux étapes
Bonjour,
Aaaah merci Maurice pour ton compte-rendu..Tu vois, tu excelles - aussi - dans cet exercice.
Et oui, les côtes et autres reliefs, à défaut d'être un grimpeur accompli, je les gère tant bien que mal.
Et oui si j'ai bien appris un truc durant cette première année de pratique régulière du vélo et surtout de la longue distance (BRM), c'est d'éviter mes zones, cardiaques, rouges
Aaaah merci Maurice pour ton compte-rendu..Tu vois, tu excelles - aussi - dans cet exercice.
Et oui, les côtes et autres reliefs, à défaut d'être un grimpeur accompli, je les gère tant bien que mal.
Et oui si j'ai bien appris un truc durant cette première année de pratique régulière du vélo et surtout de la longue distance (BRM), c'est d'éviter mes zones, cardiaques, rouges
Re: Tour de la Nièvre en deux étapes
Ainsi, l'étape 1 s'est achevée sous de bons auspices.
Le logement prêté non seulement tombait à pic mais était très confortable. Encore merci à Joann et son collègue/ami.
Dimanche, changement d'heure : une heure de sommeil de gagnée !
Cette heure n'était pas de trop.
A 7h17 (anciennement 06h17), nous n'étions plus très loin de quitter le nid douillet.
Direction le Vieux Morvan - bien connu à une certaine époque dû à un certain président au double septennat et au chapeau hombourg noir - pour boire un café et faire passer les croissants achetés à la boulangerie quasi limitrophe.
Las, cet auguste hôtel ouvrant ses portes bien trop tard pour nous en ce dimanche prometteur, nous nous dirigeons vers un autre café, Le Montana.
Là, une patronne à la personnalité affirmée renvoie fermement Joann dans ses plates-bandes avec sa commande de "café allongée"
- Je ne sers pas de café allongé ; c'est devenu à la mode et je ne veux pas suivre la mode.
Du coup, nous avons pris, trois café-double (ce que femme veut, ... )
Le logement prêté non seulement tombait à pic mais était très confortable. Encore merci à Joann et son collègue/ami.
Dimanche, changement d'heure : une heure de sommeil de gagnée !
Cette heure n'était pas de trop.
A 7h17 (anciennement 06h17), nous n'étions plus très loin de quitter le nid douillet.
Direction le Vieux Morvan - bien connu à une certaine époque dû à un certain président au double septennat et au chapeau hombourg noir - pour boire un café et faire passer les croissants achetés à la boulangerie quasi limitrophe.
Las, cet auguste hôtel ouvrant ses portes bien trop tard pour nous en ce dimanche prometteur, nous nous dirigeons vers un autre café, Le Montana.
Là, une patronne à la personnalité affirmée renvoie fermement Joann dans ses plates-bandes avec sa commande de "café allongée"
- Je ne sers pas de café allongé ; c'est devenu à la mode et je ne veux pas suivre la mode.
Du coup, nous avons pris, trois café-double (ce que femme veut, ... )
Re: Tour de la Nièvre en deux étapes
Chateau-Chinon se réveille doucement, nos estomacs désormais remplis d'appétissants et bons croissants, et le café bu, nos fidèles bicyclettes sont enfourchées résolumemnt.
De la résolution, de l'opiniâtreté et du mental, il en faudra encore pour cette deuxième étape.
Le temps compte puisque un peu au contraire de Maurice et Joann aussi, je dois reprendre le train à 18h26 à Saincaize (58) pour rentrer chez moi.
D'emblée pas de tour d'observation ça grimpe direction Arleuf ralliée à 07h54
Ensuite le Col du Haut Folin pointe bien vite son nez ; à 08h36 petite photo souvenir.
Pas de Joann et Maurice. Bon, je me dis qu'ils ne doivent pas être loin...
Comme évoqué par Maurice, je me rue dans la descente De quoi prendre un max de plaisir au passage.
mains en bas de cintre pour abaisser le centre de gravité, fesses en arrière de la selle, jeux de positions d'épaules, du buste et d'inclinaisons du vélo, je file sans frémir
Sauf que...une fois "en-bas", et sur les premiers mètres de la route de bibracte, je m'interroge : ok lors de cette montée aussi un écart - a minima visuel significatif - s'était creusé avec mes deux compères, toujours aussi bien en jambes et allègrement devant... mais quand même c'est bizarre de ne pas les rattraper dans la descente... Où sont-ils ?
Je m'arrête sur la bas-coté, reconnecte le portable et appelle Maurice : en fait ils avaient gravi le sommet du haut Folin !
Or, il était placé hors trace. Ils étaient du coup derrière.
Bon, péripétie/malentendu pas grave : étant déjà lancé pour gravir le Mont Beuvray, il fut rapidement décidé que je les attendrais à son sommet.
Dites donc...Bien pentu velu par ce coté le petit itinéraire partant du musée... Des pentes à près de 20% dans les lacets selon Joann... Je veux, mon n'veu !
Porte du Rebout, le plus gros est gravi
32x28 (un 30x28 n'aurait pas été de refus )
Bon, faut poursuivre, le sommet n'est pas si loin.
De la résolution, de l'opiniâtreté et du mental, il en faudra encore pour cette deuxième étape.
Le temps compte puisque un peu au contraire de Maurice et Joann aussi, je dois reprendre le train à 18h26 à Saincaize (58) pour rentrer chez moi.
D'emblée pas de tour d'observation ça grimpe direction Arleuf ralliée à 07h54
Ensuite le Col du Haut Folin pointe bien vite son nez ; à 08h36 petite photo souvenir.
Pas de Joann et Maurice. Bon, je me dis qu'ils ne doivent pas être loin...
Comme évoqué par Maurice, je me rue dans la descente De quoi prendre un max de plaisir au passage.
mains en bas de cintre pour abaisser le centre de gravité, fesses en arrière de la selle, jeux de positions d'épaules, du buste et d'inclinaisons du vélo, je file sans frémir
Sauf que...une fois "en-bas", et sur les premiers mètres de la route de bibracte, je m'interroge : ok lors de cette montée aussi un écart - a minima visuel significatif - s'était creusé avec mes deux compères, toujours aussi bien en jambes et allègrement devant... mais quand même c'est bizarre de ne pas les rattraper dans la descente... Où sont-ils ?
Je m'arrête sur la bas-coté, reconnecte le portable et appelle Maurice : en fait ils avaient gravi le sommet du haut Folin !
Or, il était placé hors trace. Ils étaient du coup derrière.
Bon, péripétie/malentendu pas grave : étant déjà lancé pour gravir le Mont Beuvray, il fut rapidement décidé que je les attendrais à son sommet.
Dites donc...Bien pentu velu par ce coté le petit itinéraire partant du musée... Des pentes à près de 20% dans les lacets selon Joann... Je veux, mon n'veu !
Porte du Rebout, le plus gros est gravi
32x28 (un 30x28 n'aurait pas été de refus )
Bon, faut poursuivre, le sommet n'est pas si loin.
Re: Tour de la Nièvre en deux étapes
09h28. Ouf, j'y suis ! Plus qu'à regarder un peu à quoi ressemble ce Mont et attendre les copains
10 bonnes minutes plus tard, on admire ensemble la vue du panorama offert en contrebas.
10 bonnes minutes plus tard, on admire ensemble la vue du panorama offert en contrebas.
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Re: Tour de la Nièvre en deux étapes
On en avait parlé avec Maurice, un tour de la Nièvre cyclo. L'idée me plaisait bien, parce que j'aime bien ce département dont je connais surtout la partie Est, la morvandelle. Nous avions pensé à la Toussaint, et je m'attendais à des intempéries, le Morvan pouvant être un peu rude. Finalement le week-end du 29 et 30 octobre s’annonçait radieux. Le vendredi midi, je prenais la direction de la gare de Mouchard depuis chez ma mère où je venais de laisser mes enfants pour un peu de vacances chez la mamie.
Après 4h de train, me voilà à Imphy.
20221028_162208 by joann masuyer, sur Flickr
Une dizaine de kilomètres me séparent de Magny Cours où je dois rejoindre Maurice. Ils sont avalés tranquillement et nous nous retrouvons pour faire quelques courses. Après un plat de pâtes mitonné par Maurice, nous rejoignons nos lits pour, nous l'espérons, une bonne nuit vu l'étape solide du lendemain.
réveil à 4h pour rejoindre Raphael au centre de Magny-Cours. À son arrivée, nous ne traînons pas, nous aurons l'occasion de faire connaissance dans la journée. Il fait nuit noire et nous roulons à bon rythme. Pas de longues montées mais une succession de petits toboggans, ce que j'apprécie plutôt et qui correspond bien à mon côté "bon nulle part, moyen partout). Nous ne nous arrêtons que pour les photos de panneaux qui doivent servir à valider la rando permanente. Nous avons convenu d'une pause à Donzy, premier site BPF de la journée, pour faire le tampon et boire un café accompagné de quelques croissants. Hélas, la ville semble assez dépourvue en commerce, mais nous finissons par dégoter une supérette où nous effectuons les formalités d'usage et achetons quelques viennoiseries. On verra pour un café à Saint Vérain, prochain BPF situé à une quinzaine de kilomètres. Le jour s'est enfin levé sur les paysages de la Puisaye.
20221029_083413 by joann masuyer, sur Flickr
À Saint-Vérain, nous obtenons un cachet de la commune, le contrôleur tâtillon des BPF devrait apprécier cette marque officielle.
Le prochain contrôle est à Saint-Amand en Puisaye, nous y trouverons certainement un café. Après la photo du panneau et quelques coups de pédales, nous voilà attablés au café de l'agriculture. Le café englouti, nous voilà rapidement sur nos montures, car même si nous avons déjà roulé plus de 100 km, nous ne sommes pas encore à la moitié de l'étape. Des routes tranquilles et bucoliques nous conduisent à travers chênaies et grandes cultures à Corvol l'Orgueilleux qui marque la moitié du périple du jour.
20221029_111633 by joann masuyer, sur Flickr
Le paysage commence à changer, les grandes cultures laissent la place à l'élevage de bovins de boucherie et au bocage. Les midi sont bien sonnés quand nous arrivons à Corbigny où c'est jour de marché. Les victuailles achetées à la boulangerie sont avalés en terrasse d'un troquet. L'atmosphère de cette petite bourgade commerçante me plaît beaucoup, l'idée germe dans ma tête de refaire ce tour de la Nièvre en suivant le parcours complet proposé par la Jeune Garde Sportive Nivernaise (en ajoutant quelques crochets pour attraper les cols qui me manquent dans la Nièvre), sur 4 jours afin de mieux profiter et prendre le temps de faire des photos.
20221029_131233 by joann masuyer, sur Flickr
20221029_134254 by joann masuyer, sur Flickr
Nous nous dirigeons maintenant vers le prochain BPF, la ville de Lormes. Nous sommes maintenant dans le Morvan, nous allons prendre de l'altitude. Pour monter à Lormes, je décide de décrasser le diesel en appuyant sur le pédales sur 5 ou 6 km à un peu plus de 3% de pente moyenne. J'arrive un peu avant mes camarades ce qui me laisse le temps de prendre une photo.
20221029_143617 by joann masuyer, sur Flickr
Les 200 km sont passés, mais les derniers 80 km vont être bien plus accidentés. 1300 m de D+ sur 86 km alors que sur les 200 km précédents, il n'y avait guère que 1500 m. Le paysage devient plus forestier. Taillis de hêtre, témoins d'un temps où le Morvan fournissait Paris en combustible et futaies régulières de douglas qui depuis les années 70 s'est bien implanté et acclimaté. Autour des villages, c'est le bocage qui domine où paissent charolais et moutons. J'adore pédaler au milieu de ces haies basses. Quarré les Tombes et Dun les Places sont les deux contrôles avant le BPF des Settons. Le jour décline un peu quand nous y arrivons. Un hôtel restaurant chocolatier nous accueille et tamponne nos cartons. Le patron nous annonce que les travaux sur le barrage nous empêchent de le franchir. Ce barrage a été construit au milieu du XIXe siècle pour réguler la navigation sur l'Yonne et faciliter le flottage du bois. Tant pis, nous ferons un petit détour.
Nous retrouvons de jolies petites routes pour rejoindre le petit bourg commerçant d'Ouroux en Morvan, dont je suis toujours surpris par l'animation. En descendant sur le lac de Pannecière, Raphael crève. Il fait nuit. une dizaine de minutes suffisent à réparer. Un dernier contrôle à Chaumard avant de commencer la grimpette sur Château-Chinon, BPF que j'ai déjà mais qui manque à mes deux camarades et où nous passons la nuit, après un repas dans une pizzeria sandwicherie, chez un copain qui nous a laissé son appart.
Après 4h de train, me voilà à Imphy.
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Une dizaine de kilomètres me séparent de Magny Cours où je dois rejoindre Maurice. Ils sont avalés tranquillement et nous nous retrouvons pour faire quelques courses. Après un plat de pâtes mitonné par Maurice, nous rejoignons nos lits pour, nous l'espérons, une bonne nuit vu l'étape solide du lendemain.
réveil à 4h pour rejoindre Raphael au centre de Magny-Cours. À son arrivée, nous ne traînons pas, nous aurons l'occasion de faire connaissance dans la journée. Il fait nuit noire et nous roulons à bon rythme. Pas de longues montées mais une succession de petits toboggans, ce que j'apprécie plutôt et qui correspond bien à mon côté "bon nulle part, moyen partout). Nous ne nous arrêtons que pour les photos de panneaux qui doivent servir à valider la rando permanente. Nous avons convenu d'une pause à Donzy, premier site BPF de la journée, pour faire le tampon et boire un café accompagné de quelques croissants. Hélas, la ville semble assez dépourvue en commerce, mais nous finissons par dégoter une supérette où nous effectuons les formalités d'usage et achetons quelques viennoiseries. On verra pour un café à Saint Vérain, prochain BPF situé à une quinzaine de kilomètres. Le jour s'est enfin levé sur les paysages de la Puisaye.
20221029_083413 by joann masuyer, sur Flickr
À Saint-Vérain, nous obtenons un cachet de la commune, le contrôleur tâtillon des BPF devrait apprécier cette marque officielle.
Le prochain contrôle est à Saint-Amand en Puisaye, nous y trouverons certainement un café. Après la photo du panneau et quelques coups de pédales, nous voilà attablés au café de l'agriculture. Le café englouti, nous voilà rapidement sur nos montures, car même si nous avons déjà roulé plus de 100 km, nous ne sommes pas encore à la moitié de l'étape. Des routes tranquilles et bucoliques nous conduisent à travers chênaies et grandes cultures à Corvol l'Orgueilleux qui marque la moitié du périple du jour.
20221029_111633 by joann masuyer, sur Flickr
Le paysage commence à changer, les grandes cultures laissent la place à l'élevage de bovins de boucherie et au bocage. Les midi sont bien sonnés quand nous arrivons à Corbigny où c'est jour de marché. Les victuailles achetées à la boulangerie sont avalés en terrasse d'un troquet. L'atmosphère de cette petite bourgade commerçante me plaît beaucoup, l'idée germe dans ma tête de refaire ce tour de la Nièvre en suivant le parcours complet proposé par la Jeune Garde Sportive Nivernaise (en ajoutant quelques crochets pour attraper les cols qui me manquent dans la Nièvre), sur 4 jours afin de mieux profiter et prendre le temps de faire des photos.
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Nous nous dirigeons maintenant vers le prochain BPF, la ville de Lormes. Nous sommes maintenant dans le Morvan, nous allons prendre de l'altitude. Pour monter à Lormes, je décide de décrasser le diesel en appuyant sur le pédales sur 5 ou 6 km à un peu plus de 3% de pente moyenne. J'arrive un peu avant mes camarades ce qui me laisse le temps de prendre une photo.
20221029_143617 by joann masuyer, sur Flickr
Les 200 km sont passés, mais les derniers 80 km vont être bien plus accidentés. 1300 m de D+ sur 86 km alors que sur les 200 km précédents, il n'y avait guère que 1500 m. Le paysage devient plus forestier. Taillis de hêtre, témoins d'un temps où le Morvan fournissait Paris en combustible et futaies régulières de douglas qui depuis les années 70 s'est bien implanté et acclimaté. Autour des villages, c'est le bocage qui domine où paissent charolais et moutons. J'adore pédaler au milieu de ces haies basses. Quarré les Tombes et Dun les Places sont les deux contrôles avant le BPF des Settons. Le jour décline un peu quand nous y arrivons. Un hôtel restaurant chocolatier nous accueille et tamponne nos cartons. Le patron nous annonce que les travaux sur le barrage nous empêchent de le franchir. Ce barrage a été construit au milieu du XIXe siècle pour réguler la navigation sur l'Yonne et faciliter le flottage du bois. Tant pis, nous ferons un petit détour.
Nous retrouvons de jolies petites routes pour rejoindre le petit bourg commerçant d'Ouroux en Morvan, dont je suis toujours surpris par l'animation. En descendant sur le lac de Pannecière, Raphael crève. Il fait nuit. une dizaine de minutes suffisent à réparer. Un dernier contrôle à Chaumard avant de commencer la grimpette sur Château-Chinon, BPF que j'ai déjà mais qui manque à mes deux camarades et où nous passons la nuit, après un repas dans une pizzeria sandwicherie, chez un copain qui nous a laissé son appart.
« Les pistes cyclables ne sont pas établies pour nous rendre service mais pour débarrasser les automobilistes de notre présence… Ce serait un calvaire de faire 200, voire 100 km dessus »
James Ruffier
https://2rouescommedesailes.blogspot.com/
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Re: Tour de la Nièvre en deux étapes
Allez, avec l'atlas routier de chez Bib, je vous suis... Suffit d'aller voir la localité dans l'index alphabétique et hop...
Et c'est un plaisir (pour moi) de faire ce suivi sur des supports papier.
Le Morvan c'est rude mais beau.
Jamais fait de vélo dans ce massif, mais j'avais deux projets :
Dans les années 2010/2015, suite à des flèches de France plaisantes, j'étais tenté par la RP de l'Union des Audax Paris le Mont Ventoux. Et le circuit passait par le Mont Beuvrey...
Puis, après avoir lu le périple pédestre d'Albert Khan des Ardennes au pays Basque, l'idée a germé de faire ce trajet en vélo...Les étapes étaient déjà tracées sur Openrunner... avec donc une traversée nord/sud du Morvan. Bon les problèmes de santé ont eu la peau du projet.
Pas sûr maintenant d'aller cycloter sur ces routes casse pattes...
Reste les lacs qui sont tous superbes, et qui permettent aux caravaniers d' y faire des haltes reposantes.
En 2021, trois jours au lac des Settons nous ont ravi... mon épouse pratiquant l'eau libre a bien apprécié.
Le soir sur le lac...
lac des Settons... Morvan by Michel Donnet, sur Flickr
On attend la suite bien sûr...
Et c'est un plaisir (pour moi) de faire ce suivi sur des supports papier.
Le Morvan c'est rude mais beau.
Jamais fait de vélo dans ce massif, mais j'avais deux projets :
Dans les années 2010/2015, suite à des flèches de France plaisantes, j'étais tenté par la RP de l'Union des Audax Paris le Mont Ventoux. Et le circuit passait par le Mont Beuvrey...
Puis, après avoir lu le périple pédestre d'Albert Khan des Ardennes au pays Basque, l'idée a germé de faire ce trajet en vélo...Les étapes étaient déjà tracées sur Openrunner... avec donc une traversée nord/sud du Morvan. Bon les problèmes de santé ont eu la peau du projet.
Pas sûr maintenant d'aller cycloter sur ces routes casse pattes...
Reste les lacs qui sont tous superbes, et qui permettent aux caravaniers d' y faire des haltes reposantes.
En 2021, trois jours au lac des Settons nous ont ravi... mon épouse pratiquant l'eau libre a bien apprécié.
Le soir sur le lac...
lac des Settons... Morvan by Michel Donnet, sur Flickr
On attend la suite bien sûr...
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Re: Tour de la Nièvre en deux étapes
Félicitations et merci beaucoup pour votre généreux partage !
Amicalement,
Michel ALLONNEAU.
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Re: Tour de la Nièvre en deux étapes
Entre ceux qui font le Tour de la Nièvre, ceux qui font le Tour d'Europe, j'ai l'impression de faire le Tour du...Pâté de Maison...
Sans cap, tous les vents sont contraires....
Re: Tour de la Nièvre en deux étapes
...une fois le gros plat de résistance (mont beuvray) englouti, après une bonne descente...ben faut remonter malgré tout et gravir des bosses...
Larochemillay,
Luzy et son très sympathique café-associatif,
St Honoré les Bains - commune pas très accueillante (fermeture des cafés, resto, ambiance de fin de saison) ...
En arrivant sur Crécy la Tour, on profite d'une voie verte le long du canal et à sa sortie, on casse la croûte avec des restes tirés du sac (merci emilpoe pour tes biscuits et morceaux de cake faits maison).
Les montées s'espacent en arrivant sur Decize via La Machine (où un dernier coup de tampon - ici au musée de la mine - sera apposé sur le carton bpf).
Puis des soubresauts de reliefs seront finalement gravis en allant sur Riousse avant de plonger vers Magny-Cours, signant la fin officielle du périple.
...comment passer à coté de ce panneau ?
Là je quitte malheureusement rapidement mes fidèles compagnons du we, devant prendre le dernier train pour Vichy (TER), 10 km plus loin à Saincaize
Larochemillay,
Luzy et son très sympathique café-associatif,
St Honoré les Bains - commune pas très accueillante (fermeture des cafés, resto, ambiance de fin de saison) ...
En arrivant sur Crécy la Tour, on profite d'une voie verte le long du canal et à sa sortie, on casse la croûte avec des restes tirés du sac (merci emilpoe pour tes biscuits et morceaux de cake faits maison).
Les montées s'espacent en arrivant sur Decize via La Machine (où un dernier coup de tampon - ici au musée de la mine - sera apposé sur le carton bpf).
Puis des soubresauts de reliefs seront finalement gravis en allant sur Riousse avant de plonger vers Magny-Cours, signant la fin officielle du périple.
...comment passer à coté de ce panneau ?
Là je quitte malheureusement rapidement mes fidèles compagnons du we, devant prendre le dernier train pour Vichy (TER), 10 km plus loin à Saincaize
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Re: Tour de la Nièvre en deux étapes
Seconde étape.
Dimanche 29 octobre 2022.
La sonnerie retenti, tous le monde se lève...
Peu de paroles échangées, un regard dehors pour s'assurer du beau temps prévu. Avec Raphaël nous finissons nos tartes flambées, guère appétissantes à cette heure matinale mais drôlement caloriques...
L'appartement est quitté avant sept heures. Deux minutes plus tard, premier arrêt devant la Boulangerie-du-Boulevard. Le plein de viennoiserie y est fait. Le second arrêt se fait trois cent mètres plus loin au Café-Montana pour trois "doubles"...
À sept heures vingt la seconde étape de ce Tour-de-la-Nièvre peut débuter...
Le parcours commence par descendre et à son habitude Raphaël est aux avants postes. Au fond de la vallée l'Yonne est traversée dans une surprenante fraîcheur...
Tout comme la route, la température remonte vite. Arleuf, le premier contrôle du jour, est atteint après six kilomètres d'ascension. Comme hier Raphaël arrive avec quelques encablures de retard...
Le prochain objectif n'est ni un contrôle ni un BPF, c'est le Haut-Folin, point culminant du massif du Morvan (901 m)...
Ce matin les jambes tournent bien et j'arrive en tête au Col-du-Haut-Folin. Je m'engage sur la petit route à droite qui rapidement me mène au sommet. Après une petite photo du lieu Joann arrive à son tour...
Au bout de dix minutes d'attente, étonnés de ne pas voir arriver notre compagnon, nous redescendons au col... Toujours rien... Inquiets, nous poursuivons la descente un kilomètre en direction d'Arleuf, personne... Joann arrête une voiture montante qui nous certifie ne pas avoir passé de cycliste durant la montée. Bon, notre collègue a du "basculer" directement au col...
C'est à ce moment là que Raphaël m'appelle sur mon mobile, il s'étonne de ne pas nous avoir repris dans la descente. Ouf, plus de peur que de mal. Rendez-vous est pris au Mont-Beuvray...
Le Mont-Beuvray non plus n'est pas un contrôle ni un BPF et comme le Haut-Folin il n'est pas dans la Nièvre mais avec ses gros pourcentages c'est une montée emblématique du Morvan.
On a beau être prévenu, ses deux kilomètres d'ascension sont redoutable ! Des passage à plus de 20% !... Mais en haut quelle récompense ! Quelle panorama ! Du nord-est au sud à perte de vue... Impressionnant...
De nouveau réunis nous ne traînons pas. Joann qui connaît le coin informe notre descendeur vichyssois que la qualité de la chaussée laisse à désirer et qu'il serait sage d'y aller mollo. La descente se fait groupée...
Il est maintenant dix heures et si les grosses difficultés sont faites, il n'en demeure pas moins que nous sommes toujours dans le Morvan et que de temps à autres quelques belles côtes se présentent à nous...
Le deuxième contrôle de la journée se fait au kilomètre cinquante, à Larochemillay. L'arrêt photo-panneau se prolonge par un casse-croûte nécessaire...
À la sortie du charmant petit village c'est la sympathique et plaisante D-27, belle route vallonnée, qui nous amène à Luzy, troisième contrôle du jour. Là, une pause d'un bon quart d'heure est prise dans un très accueillant café associatif...
Le contrôle suivant étant à Saint-Honoré-les-Bains le parcours s'attarde encore une bonne vingtaine de kilomètres dans le massif du Morvan. La route s'oriente au nord-ouest dans une longue série de montée-descente assez éprouvantes...
À St-Honoré, après la réglementaire photographie et au vu de l'heure, midi et demi passé, une sérieuse envie de casse-croûte consistant nous prend. Malheureusement nous sommes un dimanche de hors saison et tout est fermé dans la petite station thermale...
On verra plus loin...
À Vandenesse, cinq kilomètres plus en avant, même constat, rien d'ouvert...
Dix minutes plus tard, la piste cyclable longeant le Canal-Nivernais nous accueille pour une petite dizaine de kilomètres qui mènent à Cercy-la-Tour. Là, idem, rien n'est ouvert...
La route menant à La-Machine, ultime BPF de notre parcours, est prise. Après deux kilomètres un arrêt casse-croûte "fond de sacoche" d'une dizaine de minutes est effectué. On se pose un moment dans l’herbe... Un groupe de quatre chevreuil mise en fuite par un lièvre vient égayer ce moment...
La-Machine, ancienne cité minière, est atteinte à deux heures et demi. bien sûr aucuns commerces n'y est ouvert mais Joann parvient tout de même à faire valider son carton au Musée-de-la-Mine. Raphaël et moi n'avons pas à le faire car nous sommes déjà passé par ici...
Quinze minutes plus tard nous retrouvons la Loire à Saint-Léger-des-Vignes puis à Decize où enfin un bar-restaurant ouvert au bord de la Vielle-Loire permet de faire une bonne pause d'une vingtaine de minutes...
Decize étant un contrôle, un arrêt est fait au panneau de sortie de la ville, au sud, sur l'horrible D-978a qu'il faut emprunter cinq longs kilomètres. Puis le parcours s'oriente plein-ouest pendant plus d'une vingtaine de kilomètres sur une route assez plate et sans réelle saveur...
Nous sommes trois et bizarrement nous ne sommes pas fichus de rouler de concert... Rouler en groupe ça s'apprend et visiblement nous ne savons pas faire... Souvent je me retrouve à l'arrière et je suis obliger de revenir par des à-coups très usants...
Après Chantenay-Saint-Imbert la Nationale-7 est traversée, par hasard je me retrouve devant et vu que mes jambes semblent toujours bien tourner j’essaie d'enrouler un braquet plus grand qu'a mon habitude... à ma grande surprise j'arrive a tenir un rythme assez élevé sur six bon kilomètres ! Décidément je ne comprend pas grand chose au cyclisme de plaine !...
Riousse, joli petit village posé au sommet d'une dernière côte, est rejoint à cinq heures, c'est l'avant dernier contrôle du périple...
Maintenant la route descend en pente douce jusqu'à Saint-Pierre-le-Moûtier. Là mes deux compères repèrent une alimentation ouverte. Après un court arrêt la randonnée reprend pour les dix derniers kilomètres qui mènent à Magny-Cours...
Cette dernière demi-heure est faire "en solitaire", Raphaël cent mètres devant et Joann cent mètres derrière... On savoure... C'est difficile d'expliquer ce qu'on ressent dans ces moments là... On est pas loin du bonheur...
Machinalement le groupe se reconstitue à l'arrivé à Magny-Cours pour la dernière photo-contrôle de ce Tour-de-la-Nièvre...
Il est six heures moins le quart, Raphaël a son train dans trois quart d'heure à Saincaize-Gare à une dizaine de kilomètres. On se salue, on espère re-rouler ensemble... Ciao Raphaël et à bientôt !...
Avec Joann on est arrivé. Ce soir on va se faire un bon plat de pâte et quelques bières seront bues...
...
Demain debout cinq heures ! Mon camarade jurassien à un train à prendre à Imphy à six heures et demi et moi j'ai quatre cents bornes à faire ne bagnole...
...
Une bien belle randonnée que ce Tour-de-la-Nièvre...
Dimanche 29 octobre 2022.
La sonnerie retenti, tous le monde se lève...
Peu de paroles échangées, un regard dehors pour s'assurer du beau temps prévu. Avec Raphaël nous finissons nos tartes flambées, guère appétissantes à cette heure matinale mais drôlement caloriques...
L'appartement est quitté avant sept heures. Deux minutes plus tard, premier arrêt devant la Boulangerie-du-Boulevard. Le plein de viennoiserie y est fait. Le second arrêt se fait trois cent mètres plus loin au Café-Montana pour trois "doubles"...
À sept heures vingt la seconde étape de ce Tour-de-la-Nièvre peut débuter...
Le parcours commence par descendre et à son habitude Raphaël est aux avants postes. Au fond de la vallée l'Yonne est traversée dans une surprenante fraîcheur...
Tout comme la route, la température remonte vite. Arleuf, le premier contrôle du jour, est atteint après six kilomètres d'ascension. Comme hier Raphaël arrive avec quelques encablures de retard...
Le prochain objectif n'est ni un contrôle ni un BPF, c'est le Haut-Folin, point culminant du massif du Morvan (901 m)...
Ce matin les jambes tournent bien et j'arrive en tête au Col-du-Haut-Folin. Je m'engage sur la petit route à droite qui rapidement me mène au sommet. Après une petite photo du lieu Joann arrive à son tour...
Au bout de dix minutes d'attente, étonnés de ne pas voir arriver notre compagnon, nous redescendons au col... Toujours rien... Inquiets, nous poursuivons la descente un kilomètre en direction d'Arleuf, personne... Joann arrête une voiture montante qui nous certifie ne pas avoir passé de cycliste durant la montée. Bon, notre collègue a du "basculer" directement au col...
C'est à ce moment là que Raphaël m'appelle sur mon mobile, il s'étonne de ne pas nous avoir repris dans la descente. Ouf, plus de peur que de mal. Rendez-vous est pris au Mont-Beuvray...
Le Mont-Beuvray non plus n'est pas un contrôle ni un BPF et comme le Haut-Folin il n'est pas dans la Nièvre mais avec ses gros pourcentages c'est une montée emblématique du Morvan.
On a beau être prévenu, ses deux kilomètres d'ascension sont redoutable ! Des passage à plus de 20% !... Mais en haut quelle récompense ! Quelle panorama ! Du nord-est au sud à perte de vue... Impressionnant...
De nouveau réunis nous ne traînons pas. Joann qui connaît le coin informe notre descendeur vichyssois que la qualité de la chaussée laisse à désirer et qu'il serait sage d'y aller mollo. La descente se fait groupée...
Il est maintenant dix heures et si les grosses difficultés sont faites, il n'en demeure pas moins que nous sommes toujours dans le Morvan et que de temps à autres quelques belles côtes se présentent à nous...
Le deuxième contrôle de la journée se fait au kilomètre cinquante, à Larochemillay. L'arrêt photo-panneau se prolonge par un casse-croûte nécessaire...
À la sortie du charmant petit village c'est la sympathique et plaisante D-27, belle route vallonnée, qui nous amène à Luzy, troisième contrôle du jour. Là, une pause d'un bon quart d'heure est prise dans un très accueillant café associatif...
Le contrôle suivant étant à Saint-Honoré-les-Bains le parcours s'attarde encore une bonne vingtaine de kilomètres dans le massif du Morvan. La route s'oriente au nord-ouest dans une longue série de montée-descente assez éprouvantes...
À St-Honoré, après la réglementaire photographie et au vu de l'heure, midi et demi passé, une sérieuse envie de casse-croûte consistant nous prend. Malheureusement nous sommes un dimanche de hors saison et tout est fermé dans la petite station thermale...
On verra plus loin...
À Vandenesse, cinq kilomètres plus en avant, même constat, rien d'ouvert...
Dix minutes plus tard, la piste cyclable longeant le Canal-Nivernais nous accueille pour une petite dizaine de kilomètres qui mènent à Cercy-la-Tour. Là, idem, rien n'est ouvert...
La route menant à La-Machine, ultime BPF de notre parcours, est prise. Après deux kilomètres un arrêt casse-croûte "fond de sacoche" d'une dizaine de minutes est effectué. On se pose un moment dans l’herbe... Un groupe de quatre chevreuil mise en fuite par un lièvre vient égayer ce moment...
La-Machine, ancienne cité minière, est atteinte à deux heures et demi. bien sûr aucuns commerces n'y est ouvert mais Joann parvient tout de même à faire valider son carton au Musée-de-la-Mine. Raphaël et moi n'avons pas à le faire car nous sommes déjà passé par ici...
Quinze minutes plus tard nous retrouvons la Loire à Saint-Léger-des-Vignes puis à Decize où enfin un bar-restaurant ouvert au bord de la Vielle-Loire permet de faire une bonne pause d'une vingtaine de minutes...
Decize étant un contrôle, un arrêt est fait au panneau de sortie de la ville, au sud, sur l'horrible D-978a qu'il faut emprunter cinq longs kilomètres. Puis le parcours s'oriente plein-ouest pendant plus d'une vingtaine de kilomètres sur une route assez plate et sans réelle saveur...
Nous sommes trois et bizarrement nous ne sommes pas fichus de rouler de concert... Rouler en groupe ça s'apprend et visiblement nous ne savons pas faire... Souvent je me retrouve à l'arrière et je suis obliger de revenir par des à-coups très usants...
Après Chantenay-Saint-Imbert la Nationale-7 est traversée, par hasard je me retrouve devant et vu que mes jambes semblent toujours bien tourner j’essaie d'enrouler un braquet plus grand qu'a mon habitude... à ma grande surprise j'arrive a tenir un rythme assez élevé sur six bon kilomètres ! Décidément je ne comprend pas grand chose au cyclisme de plaine !...
Riousse, joli petit village posé au sommet d'une dernière côte, est rejoint à cinq heures, c'est l'avant dernier contrôle du périple...
Maintenant la route descend en pente douce jusqu'à Saint-Pierre-le-Moûtier. Là mes deux compères repèrent une alimentation ouverte. Après un court arrêt la randonnée reprend pour les dix derniers kilomètres qui mènent à Magny-Cours...
Cette dernière demi-heure est faire "en solitaire", Raphaël cent mètres devant et Joann cent mètres derrière... On savoure... C'est difficile d'expliquer ce qu'on ressent dans ces moments là... On est pas loin du bonheur...
Machinalement le groupe se reconstitue à l'arrivé à Magny-Cours pour la dernière photo-contrôle de ce Tour-de-la-Nièvre...
Il est six heures moins le quart, Raphaël a son train dans trois quart d'heure à Saincaize-Gare à une dizaine de kilomètres. On se salue, on espère re-rouler ensemble... Ciao Raphaël et à bientôt !...
Avec Joann on est arrivé. Ce soir on va se faire un bon plat de pâte et quelques bières seront bues...
...
Demain debout cinq heures ! Mon camarade jurassien à un train à prendre à Imphy à six heures et demi et moi j'ai quatre cents bornes à faire ne bagnole...
...
Une bien belle randonnée que ce Tour-de-la-Nièvre...
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Re: Tour de la Nièvre en deux étapes
Bravo à tous les 3!
Vous avez roulé sur des routes que j'avais empruntées exactement 1 an auparavant dans le Morvan (Haut Folin, entre autres). Cf ici.
J'avais voulu passer par Bibracte mais le temps m'avait manqué et je m'étais contenté de la source de l'Yonne, toute proche, dans l'objectif d'épingler cette source/rivière à ma collec dont je vous bassine depuis quelques temps.
C'est une belle saison pour visiter le Morvan.
Vous avez roulé sur des routes que j'avais empruntées exactement 1 an auparavant dans le Morvan (Haut Folin, entre autres). Cf ici.
J'avais voulu passer par Bibracte mais le temps m'avait manqué et je m'étais contenté de la source de l'Yonne, toute proche, dans l'objectif d'épingler cette source/rivière à ma collec dont je vous bassine depuis quelques temps.
C'est une belle saison pour visiter le Morvan.
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Angstrom
"Un cyclotouriste n’a pas de palmarès, il n’a que des souvenirs… » Jean Taboureau
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Re: Tour de la Nièvre en deux étapes
Merci pour vos récits.
Encore une preuve que vous avez plus d'un Tour dans votre sac.
Encore une preuve que vous avez plus d'un Tour dans votre sac.
Amicalement,
Michel ALLONNEAU.
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Re: Tour de la Nièvre en deux étapes
Jolie balade, et jolies illustrations.
Vous en aurez aligné des bambées ensembles, c'est chouette.
Je reste juste sur ma faim avec cette phrase
Vous en aurez aligné des bambées ensembles, c'est chouette.
Je reste juste sur ma faim avec cette phrase
T'aurais pas une/deux photos ? Dis ^^emilpoe a écrit : ↑ven. 11 nov. 2022 18:14 Seconde étape.
...
Le Mont-Beuvray non plus n'est pas un contrôle ni un BPF et comme le Haut-Folin il n'est pas dans la Nièvre mais avec ses gros pourcentages c'est une montée emblématique du Morvan.
On a beau être prévenu, ses deux kilomètres d'ascension sont redoutable ! Des passage à plus de 20% !... Mais en haut quelle récompense ! Quelle panorama ! Du nord-est au sud à perte de vue... Impressionnant...
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Une bien belle randonnée que ce Tour-de-la-Nièvre...
La vie, c'est comme la bicyclette.
Il faut avancer pour ne pas tomber.
Il faut avancer pour ne pas tomber.