Vélo et endorphines
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Vélo et endorphines
Bien le bonjour !
Je me suis procuré aujourd'hui un vélo d'appartement, je souhaite faire des séances quasi-quotidiennes dans le but de profiter des bienfaits d'une pratique sportive sur le cerveau, l'humeur, le moral, la détente, l'évacuation du stress, etc.
J'ai lu que dans le cas de la course à pied, il faut en moyenne 40 minutes d'effort soutenu pour que commence une réelle production d'endorphines (et autres hormones)
Ma question est la suivante : d'après vos expériences et informations, au bout de combien de temps de pédalage peut-on espérer le déclenchement d'une production conséquente d'hormones du bonheur ?
J'espère obtenir divers avis...
Merci !!!
Je me suis procuré aujourd'hui un vélo d'appartement, je souhaite faire des séances quasi-quotidiennes dans le but de profiter des bienfaits d'une pratique sportive sur le cerveau, l'humeur, le moral, la détente, l'évacuation du stress, etc.
J'ai lu que dans le cas de la course à pied, il faut en moyenne 40 minutes d'effort soutenu pour que commence une réelle production d'endorphines (et autres hormones)
Ma question est la suivante : d'après vos expériences et informations, au bout de combien de temps de pédalage peut-on espérer le déclenchement d'une production conséquente d'hormones du bonheur ?
J'espère obtenir divers avis...
Merci !!!
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Re: Vélo et endorphines
Le mot important dans la question doit être "soutenu", c'est à dire qu'il faut de la souffrance pour produire de l'endorphine.
Alors que j'ai déjà une sensation de bonheur dès le premier coup de pédale.
Pour répondre à la question, il faudrait être dans une situation d'expérimentation, casques avec électrodes, et pédalage intense continu. Est-ce qu'en vélo on peut se mettre en état de souffrance CONTINU pendant si longtemps ? Je m"arrête sans doute avant.
Question un peu bizarre ....
Manouche
Alors que j'ai déjà une sensation de bonheur dès le premier coup de pédale.
Pour répondre à la question, il faudrait être dans une situation d'expérimentation, casques avec électrodes, et pédalage intense continu. Est-ce qu'en vélo on peut se mettre en état de souffrance CONTINU pendant si longtemps ? Je m"arrête sans doute avant.
Question un peu bizarre ....
Manouche
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Antonia Suzan Byatt
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Re: Vélo et endorphines
Les hormones de bonheur je ne les ai jamais sur un vélo d’appartement. L’exercice physique et son contexte sont aussi importants l’un que l’autre pour les hormones. Nul besoin de souffrir sinon faut passer au masochisme
Luc
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Re: Vélo et endorphines
Bonjour
Je vais répondre mais je ne sais pas si c'est utile (peut être que c'est juste pour me faire plaisir !! )
Premièrement, je n'ai pas de vélo d’appartement -> donc difficile de donner mon expérience à ce sujet.
Ce que je peux dire sur mes sorties vélo, c'est que j'ai bien l'impression que le "moment de bonheur" ne vient jamais au même moment ni pour les mêmes raisons et que cela dépend du contexte.
- sortie tout seul (prévue ou spontanée)
- sortie avec mon fils
- sortie avec mon épouse
- sortie organisée et guidée pour des groupes dans le cadre du Gracq
- Participation à un "gros événement" avec challenge (je pense, par exemple, au "Paris-Roubaix amateur" que j'ai fais cette année)
Je n'éprouve pas, non plus, le besoin de souffrir (bien au contraire, si ça commence à me 'pomper l'air" j'ai tendance à arrêter car pour moi faire un hobby c'est pas le "taf").
Bien à tous.
Je vais répondre mais je ne sais pas si c'est utile (peut être que c'est juste pour me faire plaisir !! )
Premièrement, je n'ai pas de vélo d’appartement -> donc difficile de donner mon expérience à ce sujet.
Ce que je peux dire sur mes sorties vélo, c'est que j'ai bien l'impression que le "moment de bonheur" ne vient jamais au même moment ni pour les mêmes raisons et que cela dépend du contexte.
- sortie tout seul (prévue ou spontanée)
- sortie avec mon fils
- sortie avec mon épouse
- sortie organisée et guidée pour des groupes dans le cadre du Gracq
- Participation à un "gros événement" avec challenge (je pense, par exemple, au "Paris-Roubaix amateur" que j'ai fais cette année)
Je n'éprouve pas, non plus, le besoin de souffrir (bien au contraire, si ça commence à me 'pomper l'air" j'ai tendance à arrêter car pour moi faire un hobby c'est pas le "taf").
Bien à tous.
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Re: Vélo et endorphines
Il n'y a pas besoin de souffrir pour ensuite être bien. Cette vision semble relever d'une certaine tradition religieuse
La question du sport pour but de produire des endorphines est a priori plutôt étrange. La question devrait être pourquoi y-a-t-il sécrétion de cette morphine endogène dans ces situations ? La principale action de ces substances est de diminuer la sensibilité du corps à la douleur. Le cerveau réagit à un stress, à une agression, pour permettre au corps de continuer à fonctionner et/ou à fonctionner transitoirement mieux. Initialement pour fuir (ou se battre)... et sauver sa peau. Tous ces mécanismes proviennent de l'évolution des espèces et ont permis que l'humanité et d'autres la traverse...
Attention aucune drogue n'est bonne, pas même le sport. De plus il y a ici aussi accoutumance. Si le sport en devient une, son apport sera nocif. Le stress physique pour luter contre le stress psychique semble être la porte d'entrée d'une dangereuse spirale de souffrance.
Sans se préoccuper de mécanismes biologiques très complexes, le seul fait de rouler, quelle que soit l'allure et la fréquence, au calme et en ressentant l’environnement extérieur est ce qui (m') apporte du bonheur et un apaisement psychique. Ocytocine et non endorphines... Le seul fait de caresser son chat qui ronronne libère aussi cette dernière donc rouler avec son chat doit être planant @Manouche
La question du sport pour but de produire des endorphines est a priori plutôt étrange. La question devrait être pourquoi y-a-t-il sécrétion de cette morphine endogène dans ces situations ? La principale action de ces substances est de diminuer la sensibilité du corps à la douleur. Le cerveau réagit à un stress, à une agression, pour permettre au corps de continuer à fonctionner et/ou à fonctionner transitoirement mieux. Initialement pour fuir (ou se battre)... et sauver sa peau. Tous ces mécanismes proviennent de l'évolution des espèces et ont permis que l'humanité et d'autres la traverse...
Attention aucune drogue n'est bonne, pas même le sport. De plus il y a ici aussi accoutumance. Si le sport en devient une, son apport sera nocif. Le stress physique pour luter contre le stress psychique semble être la porte d'entrée d'une dangereuse spirale de souffrance.
Sans se préoccuper de mécanismes biologiques très complexes, le seul fait de rouler, quelle que soit l'allure et la fréquence, au calme et en ressentant l’environnement extérieur est ce qui (m') apporte du bonheur et un apaisement psychique. Ocytocine et non endorphines... Le seul fait de caresser son chat qui ronronne libère aussi cette dernière donc rouler avec son chat doit être planant @Manouche
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Re: Vélo et endorphines
L'endorphine est considérée comme l'hormone du bonheur.
Elle est secretee par l'hypophyse et l'hypothalamus en situation de stress physique.....en effet le home traîner est, pour le moins....stressant et emmerdant.
Il faut savoir qu'elle est également produite par l'absorption de sucreries.
Je préfère la produire en mangeant une tablette de chocolat, plutôt qu'à me faire ch... sur un home traîner.
Mais je préfère, ET DE LOIN !!!, aller me balader au Grand Air en Pleine Nature, avec ma Bicyclette !!!
Elle est secretee par l'hypophyse et l'hypothalamus en situation de stress physique.....en effet le home traîner est, pour le moins....stressant et emmerdant.
Il faut savoir qu'elle est également produite par l'absorption de sucreries.
Je préfère la produire en mangeant une tablette de chocolat, plutôt qu'à me faire ch... sur un home traîner.
Mais je préfère, ET DE LOIN !!!, aller me balader au Grand Air en Pleine Nature, avec ma Bicyclette !!!
Sans cap, tous les vents sont contraires....
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Re: Vélo et endorphines
Comme il semble moins apprécier le vélo que lorsqu'il était plus petit, et que je m'en inquiète, je préfère le laisser dans son territoire et avec ses centres d'intérêt félins : course après les papillons, oiseaux, souris, sieste à l'ombre des feuilles de curcubitacées, observation des poissons et grenouilles du bassin ...
Je ne pense pas que les habituels contributeurs de ce forum puissent répondre à la question, sinon nous n'aurions pas toutes ces belles photos de balades qui impliquent des arrêts sur le trajet.
A moins que les adeptes de BRM et autres folies puissent nous parler de la "souffrance".
Quand j'ai eu l'occasion de monter sur un vélo d'intérieur, (dans le cadre de la kiné ) je n'ai ressenti que de l'ennui au bout d'un moment.
Manouche
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Re: Vélo et endorphines
Je suis globalement de l'avis des collègues. J'ai quelques fois l'occasion de "rouler" l'hiver sur l'home trainer de mon fils et franchement je n'ai pas ressenti cette impression de bonheur que je peut ressentir sur la route. Là où le home trainer m'est agréable c'est quant j'ai le nez bouché par la faute d'un rhume un quart d'heure à bon régime c'est radical pour passer une bonne nuit
Je ne sais pas si tu a des contre indications pour rouler sur route mais si cela t'est impossible, je pense que l'état de bien être à produire une activité physique n'est pas lié à une intensité mais à une espèce d'optimum où l'on force mais que l'on est bien d'être là. A toi de voir d'essayer de trouver l'allure qui te va bien en faisant battre ton cœur à une fréquence ni trop basse ni trop haute.
Je trouve ce genre de sensation en montant des cols ou des côtes mais je reconnais que si certains jours ça ne marche pas d'autres par contre j'ai l'impression en montant de pédaler sur du plat alors que la pente est bien là... Je pense qu'il doit y avoir moyen de trouver ce genre de sensation sur un home trainer.
Oubli ces histoire d'intensité et roule en t'écoutant
A+ Phil
Ps; si tu peu passer par la rubrique "présentez vous" afin que l'on se connaisse mieux. rien de personnel mais plutôt ta pratique ou non pratique du vélo et tes centres d'intérêt
Je ne sais pas si tu a des contre indications pour rouler sur route mais si cela t'est impossible, je pense que l'état de bien être à produire une activité physique n'est pas lié à une intensité mais à une espèce d'optimum où l'on force mais que l'on est bien d'être là. A toi de voir d'essayer de trouver l'allure qui te va bien en faisant battre ton cœur à une fréquence ni trop basse ni trop haute.
Je trouve ce genre de sensation en montant des cols ou des côtes mais je reconnais que si certains jours ça ne marche pas d'autres par contre j'ai l'impression en montant de pédaler sur du plat alors que la pente est bien là... Je pense qu'il doit y avoir moyen de trouver ce genre de sensation sur un home trainer.
Oubli ces histoire d'intensité et roule en t'écoutant
A+ Phil
Ps; si tu peu passer par la rubrique "présentez vous" afin que l'on se connaisse mieux. rien de personnel mais plutôt ta pratique ou non pratique du vélo et tes centres d'intérêt
On ne possède vraiment que ce que l'on sait...
Re: Vélo et endorphines
Bonjour,
Plutôt d'accord dans l'ensemble j'ai du mal à concevoir le fait de rester enfermer tout en m'éclatant comme je peux le faire en extérieur ! mais bon chacun son truc,
Plutôt d'accord dans l'ensemble j'ai du mal à concevoir le fait de rester enfermer tout en m'éclatant comme je peux le faire en extérieur ! mais bon chacun son truc,
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Re: Vélo et endorphines
Re
Les "vraies sorties" tout le monde connaît.
Quant au "sorties virtuelles" outre le fait que l'on entretient sa forme pendant la saison d'hiver, puisque je suis sur un home trainer connecté et que je "roule" sur une application multijoueur, j'ai plutôt l'impression d'être un peu comme dans un "JdR" (jeu de rôle) cycliste.
En définitive, c'est peut-être cet aspect la que j'aime bien et qui me procure du plaisir (si le home trainer n'était pas connecté, je n'en ferais pas).
Sur ce, il faut savoir que je suis un amateur de "JdR" sur table et que je l'ai été aussi sur internet.
Bien à toutes et tous.
Bon, ben maintenant, j'ai un home trainer et en plus un home trainer connecté et oui, une vrai sortie et une "sortie virtuelle" non rien de commun.Ravélo Rando a écrit : ↑dim. 6 oct. 2019 10:05 Premièrement, je n'ai pas de vélo d’appartement -> donc difficile de donner mon expérience à ce sujet.
Les "vraies sorties" tout le monde connaît.
Quant au "sorties virtuelles" outre le fait que l'on entretient sa forme pendant la saison d'hiver, puisque je suis sur un home trainer connecté et que je "roule" sur une application multijoueur, j'ai plutôt l'impression d'être un peu comme dans un "JdR" (jeu de rôle) cycliste.
En définitive, c'est peut-être cet aspect la que j'aime bien et qui me procure du plaisir (si le home trainer n'était pas connecté, je n'en ferais pas).
Sur ce, il faut savoir que je suis un amateur de "JdR" sur table et que je l'ai été aussi sur internet.
Bien à toutes et tous.
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Re: Vélo et endorphines
Bonjour à tous,
"J'ai lu que dans le cas de la course à pied, il faut en moyenne 40 minutes d'effort soutenu pour que commence une réelle production d'endorphines (et autres hormones)"
S'il y a ou avait un zone bien définie ça se saurait.
Entre se sentir bien et produire de l'endorphine, il y a à mon avis un gouffre.
Rouler le nez au vent heureux c'est une chose mais aller souffrir pour passer à un stade euphorique ou la douleur de l'effort accentue cette sensation de "bien" c'est autre chose.
Pour faire simple, on a mal, très mal même et le cerveau décide de ne plus avoir mal...
Sauf que ce n'est pas un état normal on plane un peu, voire un peu plus ou carrément, pas certain du tout que ce soit un effet à rechercher sur route ouverte.
Et en cyclotourisme une chimère...
Bonne route à tous.
"J'ai lu que dans le cas de la course à pied, il faut en moyenne 40 minutes d'effort soutenu pour que commence une réelle production d'endorphines (et autres hormones)"
S'il y a ou avait un zone bien définie ça se saurait.
Entre se sentir bien et produire de l'endorphine, il y a à mon avis un gouffre.
Rouler le nez au vent heureux c'est une chose mais aller souffrir pour passer à un stade euphorique ou la douleur de l'effort accentue cette sensation de "bien" c'est autre chose.
Pour faire simple, on a mal, très mal même et le cerveau décide de ne plus avoir mal...
Sauf que ce n'est pas un état normal on plane un peu, voire un peu plus ou carrément, pas certain du tout que ce soit un effet à rechercher sur route ouverte.
Et en cyclotourisme une chimère...
Bonne route à tous.
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Re: Vélo et endorphines
Salut,
Ca me fais penser à une phrase Patrick Plaine qui disait a peu près : "Quand dans ta tête tu décides que ça doit passer, le corp doit suivre, il faut dompter son corp..."
Et inversement...
Ca me fais penser à une phrase Patrick Plaine qui disait a peu près : "Quand dans ta tête tu décides que ça doit passer, le corp doit suivre, il faut dompter son corp..."
"En équilibre au milieu des fous..." Patrick Plaine
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Re: Vélo et endorphines
Bonjour à tous,
Ouiais avec un gros ton ironique
Parce-que si c'est vrai les paraplégiques n'ont qu'à vouloir un peu plus pour marcher...
Parce-que si c'est vrai avec une fracture de la jambe on cours...
...
Ok je pousse un peu loin mais, et là je ne suis plus ironique du tout.
Il y a un moment ou même en bonne santé le corps s'arrête tout simplement, il n'en peut plus.
Pour citer un gars du niveau national au semi marathon, ce genre d'affirmation (quand on veut on peut) sort de la bouche de quelqu'un qui n'a jamais été à bloc.
Pour conclure, suivre ce genre de précepte conduit à la vraie grosse blessure durable.
Forcer encore et encore et finir avec une pathologie chronique, la tendinite qui revient encore et encore après un Paris Brest Paris, et donc arrêter purement et simplement l'activité.
C'est très loin des endorphines, par contre les médicaments...
Bonne route à tous.
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Re: Vélo et endorphines
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Je n'ai pas dis que j'étais d'accord avec PP J'ai juste dis que ta phrase me faisait penser à la sienne...
Moi je diarais plutôt : "Quand ma tête décide qu'il faut s'arrèter, mon corp s'arrète"
"En équilibre au milieu des fous..." Patrick Plaine