Où et comment se faire opérer après une chute
Publié : mar. 6 nov. 2018 14:02
Bonjour,
J'aurai pu continuer sur le fil "séparateur de pistes", mais je trouve que l'on peut approfondir le sujet dans ledit fil. Je trouve les suggestions intéressantes.
Donc, je résume :
1er novembre : Chute de vélo. fracture tibia-péroné avec déplacement.
Les pompiers qui me ramassent, malgré mes explications (douleurs aiguës jambe, pied qui a pris un angle bizarre, craquement des os jambe), disent que c'est une entorse de la cheville et m'amènent aux urgences les plus proches. Un hôpital privé de Paris. (Hé oui, je suis assez loin de chez moi), ces urgences sont spécialistes de proctologie. Le médecin qui a vu mes radios aux urgences a commencé par me dire qu'elle était en colère après les pompiers qui ont un papier affiché dans leur camion pour ne pas amener ce genre d'urgence là.
Les médecins qui m'ont pris en charge ont essayé de me transférer (7 établissements ont été contactés pendant la nuit), puis la matinée suivante, d'autres encore.
Il a été dit que c'est également parce que j'étais victime de le guéguerre privé-public.
Toujours est-il que dans l'après midi du 2 novembre, j'ai été transférée dans une clinique.
Aujourd'hui, je ne suis toujours pas opérée ! Nous sommes le 6 à 13h et je suis toujours dans l'attente.
Attente au début, parce que c'est le week-end et qu'il n'y a pas le matériel (clous), puis ce matériel arrive trop tard pour être opéré dans l'après_midi du 4.
Le médecin (pneumologue) qui devait m'ausculter avant l'anesthésie n'étant pas venu le 4, il a été indisponible le 5, et il n'y a pas moyen de savoir s'il pourra passer aujourd'hui.
Voilà ma contribution à un fil sur le thème "mais où va notre santé en France".
Et si, parmi vous, il y a une "huile" qui peut me faire transférer à la Salpétrière ou à St Mandé : je prends et j'offre le .
Manouche sur son lit.
J'aurai pu continuer sur le fil "séparateur de pistes", mais je trouve que l'on peut approfondir le sujet dans ledit fil. Je trouve les suggestions intéressantes.
Donc, je résume :
1er novembre : Chute de vélo. fracture tibia-péroné avec déplacement.
Les pompiers qui me ramassent, malgré mes explications (douleurs aiguës jambe, pied qui a pris un angle bizarre, craquement des os jambe), disent que c'est une entorse de la cheville et m'amènent aux urgences les plus proches. Un hôpital privé de Paris. (Hé oui, je suis assez loin de chez moi), ces urgences sont spécialistes de proctologie. Le médecin qui a vu mes radios aux urgences a commencé par me dire qu'elle était en colère après les pompiers qui ont un papier affiché dans leur camion pour ne pas amener ce genre d'urgence là.
Les médecins qui m'ont pris en charge ont essayé de me transférer (7 établissements ont été contactés pendant la nuit), puis la matinée suivante, d'autres encore.
Il a été dit que c'est également parce que j'étais victime de le guéguerre privé-public.
Toujours est-il que dans l'après midi du 2 novembre, j'ai été transférée dans une clinique.
Aujourd'hui, je ne suis toujours pas opérée ! Nous sommes le 6 à 13h et je suis toujours dans l'attente.
Attente au début, parce que c'est le week-end et qu'il n'y a pas le matériel (clous), puis ce matériel arrive trop tard pour être opéré dans l'après_midi du 4.
Le médecin (pneumologue) qui devait m'ausculter avant l'anesthésie n'étant pas venu le 4, il a été indisponible le 5, et il n'y a pas moyen de savoir s'il pourra passer aujourd'hui.
Voilà ma contribution à un fil sur le thème "mais où va notre santé en France".
Et si, parmi vous, il y a une "huile" qui peut me faire transférer à la Salpétrière ou à St Mandé : je prends et j'offre le .
Manouche sur son lit.