Salutation, cela faisait quelques temps que j'étais en retrait... et pour cause. Mais je ne parlerai que peu de moi.
C'est une saleté ce virus, à l'instar de la grippe qui quand il s'agit bien d'elle, vous casse pour quelques jours, semaines... Quand un membre d'une famille est touché, fallait s'y attendre. On reprend petit à petit nos marques. La reprise et "l'entrainement" (ou devrais-je dire le plaisir de rouler au vent) devront attendre encore un peu. Mais on recommence doucement à bouger, à pied...
A quoi faire attention ? Actuellement la recherche a mis en avant que les protéines Spyke, comme les atteintes virales, se portent sur différents organes:
- cardiaque
- pulmonaire
- cérébral
- estomac
-...
Si l'on prend le temps d'écouter son corps, on peut le sentir arriver... et on constate par là même aussi ce qui nous vient dans la gueule... Un bon camion xx tonnes, ou pour d'autres parfois +, parfois rien...
Et à côté de cela, à l'instar de ce prime comparatif avec la grippe, d'autres entités l'ont déjà faite et la font à nouveau :
[center]L'Espagne veut considérer le coronavirus comme une grippe normale, une maladie endémique qui revient régulièrement.
Une nouvelle stratégie sera mise en place une fois la sixième vague d'infections terminée. [/center]
Le Premier ministre Pedro Sánchez a confirmé dans une interview à la radio Cadena Ser que le gouvernement va changer de stratégie pour lutter contre le coronavirus "non plus comme une pandémie mais comme une maladie endémique". "De nouveaux instruments sont nécessaires pour cela, et nous devrons également mener ce débat au niveau européen", a-t-il déclaré.
Dans ce nouveau contexte sanitaire, la prochaine étape consistera à commencer à gérer le Covid d’une manière plus proche de la grippe. C'est-à-dire en ne comptabilisant plus chaque cas et en n'ayant plus recours au test au moindre symptôme. L'objectif est de traiter désormais le Covid-comme une autre maladie respiratoire. Les autorités sanitaires espagnoles travaillent déjà à cette transition depuis des mois pour passer progressivement à une surveillance dite "sentinelle".
Le Covid a été comparé à la grippe dès le début de la pandémie. Mais avec la détérioration des conditions sanitaires et la hausse des réanimations partout en Europe, le regard sur le coronavirus a changé. Mais selon un responsable du Centre national de la grippe en Espagne, "avec le temps, il faut normaliser et surveiller le covid comme d’autres maladies respiratoires, avec des médecins de soins primaires sentinelles, qui posent un diagnostic par syndrome clinique ; en effectuant des PCR sur les patients hospitalisés et en continuant à étudier le virus pour vérifier comment il mute". D'autant que la grippe n'est pas neutre.
Par exemple, en 2018 en France, 275 000 nouveaux cas de grippe avaient été détectés la première semaine du mois de janvier. L’épidémie de grippe 2016-2017 avait causé le décès de 14 000 patients, pour la quasi-totalité des personnes âgées de plus de 75 ans. En 2018, l’épidémie de grippe fut d’une ampleur exceptionnelle, avait alors signalé le ministère de la Santé.
En Espagne, l’Instituto de Salud Carlos III souligne que lors de la saison 2017-2018, la grippe avait causé directement ou indirectement environ 15.000 décès en Espagne. Cela représente une moyenne de 41 décès par jour dus à une maladie qui, au cours des 100 dernières années, n’a pas conditionné la vie des citoyens.
C'est pourquoi l'Espagne a choisi de revoir sa stratégie. En réduisant son arsenal anti Covid ces derniers mois tandis que la sixième vague sévit dans le pays. Une situation diamétralement opposée au printemps 2020 quand le pays avait instauré l'un des confinements les plus stricts d'Europe. Or, cet hiver, les restrictions se limitent au port du masque à l'intérieur comme à l'extérieur. Certaines régions autonomes comme la Catalogne ont déployé un pass sanitaire pour la restauration ou ont décidé de fermer les discothèques. Mais les mesures sont allégées de manière générale, de même que la quarantaine des personnes testées positives a également été assouplie.
Martial Mehr
dixit l'Independant.fr
Je vous souhaite à toutes et tous, une année 2022 dans le respect de chacun, des croyances et des connaissances personnelles, des espérances et attentes individuelles, ... et non pas dans un régime dictatorial où des signes distinctifs verrait de nouvelles formes d'Apartheid réapparaître, ... nos parents ont vécu de tristes événements passés, et la démocratie notamment en France est mise à mal par une dictature hélas trop peu éclairée, sinon par ... (nmc). Quoi qu'il en soit, dans une démocratie, il devrait y avoir le respect des minorités pour le moins...
Ce message n'a pas vocation à la polémique, juste informatif qu'il soit partagé ou non, et pour les aspects personnels, cela devrait aller par chez nous, je crois qu'on prend le bon chemin pour, mais c'est raide.
La vie, c'est comme la bicyclette.
Il faut avancer pour ne pas tomber.