Non, rien de dramatique; il y a juste quelques passages où le sable est très meuble, notamment à Courniou, avant Saint Pons. Nous n'avons pas dépassé St Pons.
[2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
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Re: [2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
Contempler la nature devrait être la religion de tous les hommes - Cédric Gras
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Re: [2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
Quelques photos pour vous faire un idée (datent de 2010)La Passa Païs est si peu roulante que ça ?
Sur le viaduc d'Olargues
. .
Il y a des endroits ou c'est quand même assez hard... voici quelques photos.
D'abord du sable, avec quelques empreintes de sabots de chevaux .
Et puis un méchant raidillon .
Un endroit dangereux, quasiment criminel...
D'abord un plongeon à 12% (minimum) .
En bas duquel un virage à 90° débouche sur ça .
Et de l'autre côté re-raidillon pour remonter au niveau de la route... .
La preuve que de nombreux cyclistes court-circuitent ce passage dangereux Voilà, un(e) cyclo(te) averti(e) en vaut deux
Bon dimanche
Charles
Tout ce qu'on fait, mérite d'être bien fait
Re: [2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
Tiens il me semblait que pour ce passage là une partie de la descente était également pavée ce qui m'avait occasionné quelques difficultés supplémentaires pour ralentir suffisamment pour prendre le virage à 90% de façon disons "sereine".albina a écrit : ↑dim. 14 mars 2021 10:21....La Passa Païs est si peu roulante que ça ?
Un endroit dangereux, quasiment criminel...
D'abord un plongeon à 12% (minimum)
IMG_0351.JPG
.
En bas duquel un virage à 90° débouche sur ça
IMG_0352.JPG
IMG_0353.JPG
.
Et de l'autre côté re-raidillon pour remonter au niveau de la route...
IMG_0354.JPG
....
Charles
Autrement de façon générale à toutes les jonctions l'aménageur a installé des gabions en chicane et du fait que tous les vélos manoeuvrent à cet endroit le revêtement est systématiquement décompacté. Si on est du genre à les passer en mode gymkhana sans mettre pied à terre c'est un excellent entrainement de cyclo-cross.
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Re: [2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
Bonjour,
Depuis 2010, la Passa Païs a fait l'objet d'aménagements supplémentaires.
Je ne suis pas allé aussi loin dessus, mais je serais surpris que le tracé actuel ressemble encore à cela.
Car en effet, l'état que tu montres n'est pas du tout au niveau d'une vélo-route ou d'une voie verte homologuée.
Depuis 2010, la Passa Païs a fait l'objet d'aménagements supplémentaires.
Je ne suis pas allé aussi loin dessus, mais je serais surpris que le tracé actuel ressemble encore à cela.
Car en effet, l'état que tu montres n'est pas du tout au niveau d'une vélo-route ou d'une voie verte homologuée.
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Re: [2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
En juillet 2018 le reportage d'Albina concernant le passage sous nationale était toujours d'actualité même si de mémoire des panneaux invitant les cyclistes à mettre pied à terre avaient été installés.AngstromCyclo a écrit : ↑dim. 14 mars 2021 12:52 Bonjour,
Depuis 2010, la Passa Païs a fait l'objet d'aménagements supplémentaires.
Je ne suis pas allé aussi loin dessus, mais je serais surpris que le tracé actuel ressemble encore à cela.
Car en effet, l'état que tu montres n'est pas du tout au niveau d'une vélo-route ou d'une voie verte homologuée.
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Re: [2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
Charles, je savais que tu allais réagir et pas seulement toi !
Mais te rends-tu compte que cette Passa Pais remplace à elle seule les hauts lieux flandriens du cyclo cross (les sables d'Hoogeride) et les pavés du Koppenberg ?
Tout ça en à peine 100 bornes.
Amitié
Jimmy
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Contempler la nature devrait être la religion de tous les hommes - Cédric Gras
Re: [2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
Et comme les pavés doivent être en granit du Sidobre -voisin proche- il vaut mieux ne pas mettre un genou à terre!
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Re: [2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
Tu ne crois pas si bien dire : mon genou gauche y a goûté en 2011, au dessus de Brassac.
Heureusement , c'était dans une forte pente montante, à vitesse très réduite, mais le choc avait été sensible et la balafre est toujours présente.
Par ailleurs, j'ai entendu (ou lu ?) que certains pavés de remplacement sur le secteur final de Paris-Roubaix, proviennent des granitiers du Sidobre. Plus durs que ceux d'origine !
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Re: [2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
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Re: [2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
Salut,
Hier belle sortie autour de la "Dent-de-Cons" entre Bauges & Beaufortin.
À la hauteur de Marlens J'ai été avalé par un peloton d'une vingtaine de vélo auquel je me suis greffé à cause du fort vent de face. Et là il m'a semblé croiser Claudio sur une randonneuse rouge...
Demain une sortie est programmée avec ma Méral (ce sera son baptême) en compagnie d'Adrien et sa Jo-Routens
Hier belle sortie autour de la "Dent-de-Cons" entre Bauges & Beaufortin.
À la hauteur de Marlens J'ai été avalé par un peloton d'une vingtaine de vélo auquel je me suis greffé à cause du fort vent de face. Et là il m'a semblé croiser Claudio sur une randonneuse rouge...
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Re: [2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
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Re: [2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
Avant-hier, j'ai réussi à partir rouler après une journée de travail, vers 17h00.
Ca a plutôt mal commencé. "Mes" petites routes normalement assez calmes sont à cette heure-là encombrées de voitures aux conducteurs agressifs qui ne supportent pas d'attendre 15 secondes derrière moi sur une route étroite (limitée à 30 alors que je roule à 28)et me doublent en rasant pour se retrouver 150 m plus loin à attendre à un stop. La piste cyclable qui longe la route, bien séparée est plus sécurisante mais le flot continu est bruyant.
J'ai failli rentrer en me disant: plus jamais.
Mais j'ai tenu bon et j'ai réussi à m'extirper des flux pour retrouver la nature. J'ai grimpé les 7 kilomètres de ma côte habituelle sans traîner. C'était le but. J'ai assez peu roulé et avec ma cyclote la plupart du temps. Pas de quoi me préparer aux 7 majeurs. Je voulais donc "monter dans les tours" pour gagner en capacités.
Une fois sur le causse, je me suis octroyé un répit et j'ai repris une pratique plus cyclo-touristique en profitant aux maximum des paysages, de la lumière, de la beauté de la nature qui s'éveille au printemps. J'ai rejoint le Mas Artémon, situé en bordure de causse, afin de bénéficier de la vue en cinémascope XXL, ce qui me fait toujours le plus grand bien.
Finissant de prendre mes photos des jolis iris sauvages, prêt à réenfourcher ma randonneuse, voilà un cyclo très sportif qui se pointe. C'était le premier que je voyais depuis que j'avais quitté le monde pollué et bruyant de la plaine.
Il me passe, non sans me faire un signe très discret mais réel en réponse à mon salut.
Reprenant moi-même ma route, il se trouvait 50 mètres devant moi et je me rends compte que je peux sans problème le suivre. Connaissant l'aversion fréquente des cyclos indépendants pur les "suceurs de roue", je me garde de rouler dans sa roue, mais dès que la pente force un peu, je me rapproche de lui. La lumière rasante que nous avons tous 2 dans le dos projette mon ombre et associée à ce 6ème sens que nous portons dasn nos gènes depuis la préhistoire, le cyclo se sent chassé. Je le perçois. Il accélère, tourne la tête. Je le laisse à distance "non-agressive", mais les descentes qui suivent me permettent de le rattraper sans effort (et sans gain d'aspiration, car je suis trop loin): en effet, ma randonneuse de 40 ans, ses moyeux Maillard 700 plus silencieux n'ont rien à envier à ceux, bruyants, de mon prédécesseur. Ma position plus aérodynamique, ma sacoche de guidon posée sur mon porte-paquet qui joue le rôle de carénage, peut-être (cf article récent de Jan Heine) me permettent de graduellement me rapprocher de lui en roue libre alors qu'il pédale, lui. Je reste au contact.
La vraie descente vers Cournonterral s'engage et je lui laisse du champs. Je ne veux surtout pas qu'ils se sente poussé à la faute dans une descente, avec un possible trafic en sens inverse de voitures à cette heure. Mon avantage faible mais réel dans la vitesse en descente est confirmé, mais je tiens ma stratégie de rester en retrait. Jusqu'à une longue ligne droite à faible pente offrant la visibilité sécurisante. Je décide alors de pédaler et d'accélérer. Je double le cyclo qui passe de meneur à suiveur. Je sens qu'il suit, adoptant la même tactique que moi en laissant un écart. 2 kilomètres plus loin, il me double avec un pouce en l'air pour me témoigner son respect. Sympa, le gars. Je le suis, cette fois-ci en restant plus proche. Nous roulons désormais officieusement ensemble. En reprenant le relais, il me double à nouveau, cette-fois ci en exprimant clairement son admiration. Je ne saurais pas quelle était la raison qui le poussait à m'exprimer sa surprise, manifeste, de me voir tenir son rythme et même à le pousser dasn les côtes (je ne sais pas combien de kilomètres il avait dans les pattes, donc je ne me mets pas forcément à son niveau): la couleur de mes cheveux qui dépassaient de mon casque et qui pouvait trahir une différence d'une vingtaine d'années? Ma monture, ma Méral toute équipée de garde-boue, éclairage, porte-paquets et sacoche de cintre bien remplie, pneus de 28 à flancs beige rétro face à un vélo de rouet moderne et carboné, pesant probablement 5 kg de moins que le mien? Probablement les 2.
Nos routes se sont séparées à Cournonterral. Outre le fait que j'étais satisfait d'avoir un compagnon de route pour me motiver à fournir un effort (j'étais venu pour ça), j'étais content de pouvoir démontrer par la pratique qu'on peut se faire plaisir et s'engager physiquement avec un vélo totalement désuet. Je ne lui ai évidemment pas posé la question, mais je suis assez sûr qu'il a du se faire la réflexion.
Je rentrai à la maison bien à l'heure, citoyen bien élevé qui franchissait son portail à 18h58.
Ca a plutôt mal commencé. "Mes" petites routes normalement assez calmes sont à cette heure-là encombrées de voitures aux conducteurs agressifs qui ne supportent pas d'attendre 15 secondes derrière moi sur une route étroite (limitée à 30 alors que je roule à 28)et me doublent en rasant pour se retrouver 150 m plus loin à attendre à un stop. La piste cyclable qui longe la route, bien séparée est plus sécurisante mais le flot continu est bruyant.
J'ai failli rentrer en me disant: plus jamais.
Mais j'ai tenu bon et j'ai réussi à m'extirper des flux pour retrouver la nature. J'ai grimpé les 7 kilomètres de ma côte habituelle sans traîner. C'était le but. J'ai assez peu roulé et avec ma cyclote la plupart du temps. Pas de quoi me préparer aux 7 majeurs. Je voulais donc "monter dans les tours" pour gagner en capacités.
Une fois sur le causse, je me suis octroyé un répit et j'ai repris une pratique plus cyclo-touristique en profitant aux maximum des paysages, de la lumière, de la beauté de la nature qui s'éveille au printemps. J'ai rejoint le Mas Artémon, situé en bordure de causse, afin de bénéficier de la vue en cinémascope XXL, ce qui me fait toujours le plus grand bien.
Finissant de prendre mes photos des jolis iris sauvages, prêt à réenfourcher ma randonneuse, voilà un cyclo très sportif qui se pointe. C'était le premier que je voyais depuis que j'avais quitté le monde pollué et bruyant de la plaine.
Il me passe, non sans me faire un signe très discret mais réel en réponse à mon salut.
Reprenant moi-même ma route, il se trouvait 50 mètres devant moi et je me rends compte que je peux sans problème le suivre. Connaissant l'aversion fréquente des cyclos indépendants pur les "suceurs de roue", je me garde de rouler dans sa roue, mais dès que la pente force un peu, je me rapproche de lui. La lumière rasante que nous avons tous 2 dans le dos projette mon ombre et associée à ce 6ème sens que nous portons dasn nos gènes depuis la préhistoire, le cyclo se sent chassé. Je le perçois. Il accélère, tourne la tête. Je le laisse à distance "non-agressive", mais les descentes qui suivent me permettent de le rattraper sans effort (et sans gain d'aspiration, car je suis trop loin): en effet, ma randonneuse de 40 ans, ses moyeux Maillard 700 plus silencieux n'ont rien à envier à ceux, bruyants, de mon prédécesseur. Ma position plus aérodynamique, ma sacoche de guidon posée sur mon porte-paquet qui joue le rôle de carénage, peut-être (cf article récent de Jan Heine) me permettent de graduellement me rapprocher de lui en roue libre alors qu'il pédale, lui. Je reste au contact.
La vraie descente vers Cournonterral s'engage et je lui laisse du champs. Je ne veux surtout pas qu'ils se sente poussé à la faute dans une descente, avec un possible trafic en sens inverse de voitures à cette heure. Mon avantage faible mais réel dans la vitesse en descente est confirmé, mais je tiens ma stratégie de rester en retrait. Jusqu'à une longue ligne droite à faible pente offrant la visibilité sécurisante. Je décide alors de pédaler et d'accélérer. Je double le cyclo qui passe de meneur à suiveur. Je sens qu'il suit, adoptant la même tactique que moi en laissant un écart. 2 kilomètres plus loin, il me double avec un pouce en l'air pour me témoigner son respect. Sympa, le gars. Je le suis, cette fois-ci en restant plus proche. Nous roulons désormais officieusement ensemble. En reprenant le relais, il me double à nouveau, cette-fois ci en exprimant clairement son admiration. Je ne saurais pas quelle était la raison qui le poussait à m'exprimer sa surprise, manifeste, de me voir tenir son rythme et même à le pousser dasn les côtes (je ne sais pas combien de kilomètres il avait dans les pattes, donc je ne me mets pas forcément à son niveau): la couleur de mes cheveux qui dépassaient de mon casque et qui pouvait trahir une différence d'une vingtaine d'années? Ma monture, ma Méral toute équipée de garde-boue, éclairage, porte-paquets et sacoche de cintre bien remplie, pneus de 28 à flancs beige rétro face à un vélo de rouet moderne et carboné, pesant probablement 5 kg de moins que le mien? Probablement les 2.
Nos routes se sont séparées à Cournonterral. Outre le fait que j'étais satisfait d'avoir un compagnon de route pour me motiver à fournir un effort (j'étais venu pour ça), j'étais content de pouvoir démontrer par la pratique qu'on peut se faire plaisir et s'engager physiquement avec un vélo totalement désuet. Je ne lui ai évidemment pas posé la question, mais je suis assez sûr qu'il a du se faire la réflexion.
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"Un cyclotouriste n’a pas de palmarès, il n’a que des souvenirs… » Jean Taboureau
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Re: [2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
Salut,
Beau récit
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" 7. Ne jamais pédaler par amour-propre. "AngstromCyclo a écrit : ↑jeu. 25 mars 2021 10:22 il se trouvait 50 mètres devant moi et je me rends compte que je peux sans problème le suivre.
"En équilibre au milieu des fous..." Patrick Plaine
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Re: [2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
Très jolie balade/nature/entrainement/respiration Ang.
Pour ma part, ce fut 50km avec 210m de dénivelé+ seulement, car je ne dispose hélas pas de monts/buttes/... pour 'm'entrainer, sous la main... J'ai vu également 2-3 cyclistes routiers dont une dans la même direction que moi, que j'ai rattrapé pour le peu d'avance, dépassé aimablement et en distanciel, mais je ne suis resté devant que 5+ minutes, à 29-30km/h, mon cardio me disant de ralentir (185) même si je pensais avoir encore un peu de réserve... 2h30 a 20.5 arrêt compris, et max 36.9km/h.
En voyant cela, j'ai l'impression d'être dans un autre registre, mais on s'entraîne, on se fait plaisir, et on respire. Les primevère coucou et les ficaires sont en fleur Les ajoncs épineux ont débuté aussi, c'est le jaune du printemps.
Pour ma part, ce fut 50km avec 210m de dénivelé+ seulement, car je ne dispose hélas pas de monts/buttes/... pour 'm'entrainer, sous la main... J'ai vu également 2-3 cyclistes routiers dont une dans la même direction que moi, que j'ai rattrapé pour le peu d'avance, dépassé aimablement et en distanciel, mais je ne suis resté devant que 5+ minutes, à 29-30km/h, mon cardio me disant de ralentir (185) même si je pensais avoir encore un peu de réserve... 2h30 a 20.5 arrêt compris, et max 36.9km/h.
En voyant cela, j'ai l'impression d'être dans un autre registre, mais on s'entraîne, on se fait plaisir, et on respire. Les primevère coucou et les ficaires sont en fleur Les ajoncs épineux ont débuté aussi, c'est le jaune du printemps.
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Re: [2021] Ce matin ou hier; j'ai roulé et...
Tu me prends la main dans le sac...emilpoe a écrit : ↑jeu. 25 mars 2021 12:12 Salut,
Beau récit" 7. Ne jamais pédaler par amour-propre. "AngstromCyclo a écrit : ↑jeu. 25 mars 2021 10:22 il se trouvait 50 mètres devant moi et je me rends compte que je peux sans problème le suivre.
Heureusement, il y a ici des membres de la congrégation pour préservation de la doctrine Velociopédique ...
... qui distribuent les
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