Je n'ai qu'une pensée.
Bravo.
Faire fi (avec mesure) de l'âge et des limites qu'il nous impose, c'est réconfortant.
J'espère toujours continuer mes balades cyclo, mais je sais bien que je devrai composer avec le temps.
Alors à nos modestes chalenges...pleins d'émotion.
Mon pater, grand philosophe à ses heures, considérait que ressentir nos douleurs étaient une preuve de vie.
C'est quand il n'y en aura plus que sera le problème...