Chili
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Re: Chili
Cocuou les amis. QQ nouvelles d'Agnès.
La réparation de l'écrou de rayon cassé tient. Le rayon surtendu tient aussi donc le moral est très bon. Je m'aprête à poster qq photos avec son compte, vous verrez que la météo offre un ciel bleu et du soleil, ce qui rend les payasages somptueux. Néanmoins, ce beau temps s'accompagne d'une température frisant avec les 35 à l'ombre (et il n'y en a pas beaucoup sur la route), donc c'est éprouvant physiquement. Agnès monte les côtes en poussant et ceci affecte sa moyenne: 75 km en 10 heures hier.
Je mets à jour la carte aussi.
Voilà. Le voyage continue. Merci Agnès!
La réparation de l'écrou de rayon cassé tient. Le rayon surtendu tient aussi donc le moral est très bon. Je m'aprête à poster qq photos avec son compte, vous verrez que la météo offre un ciel bleu et du soleil, ce qui rend les payasages somptueux. Néanmoins, ce beau temps s'accompagne d'une température frisant avec les 35 à l'ombre (et il n'y en a pas beaucoup sur la route), donc c'est éprouvant physiquement. Agnès monte les côtes en poussant et ceci affecte sa moyenne: 75 km en 10 heures hier.
Je mets à jour la carte aussi.
Voilà. Le voyage continue. Merci Agnès!
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Angstrom
"Un cyclotouriste n’a pas de palmarès, il n’a que des souvenirs… » Jean Taboureau
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Angstrom
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Re: Chili
trop belle les photos... ca fait envie...par contre le chemin caillouteux et surtout la poussière ça beaucoup moins....bon la poussière ca dépend si la route est passagère car dans ce cas qu'est qu'on "bouffe", c est pénible alors..faut aussi pneus solides avec les cailloux et j ai l impression que tu en as plusieurs?'
michel,cinqtoursgrandscolsalpespassion
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Re: Chili
Toujours de belles couleurs !
Je vais mettre un (tout)petit bémol : j'ai l'impression que les routes sont désespérément en ligne quasiment droite -certes, pas mal "ondulées"- il me manquerait mes incontournables lacets Alpins...
...On se console comme on peut, de ne pas pouvoir en faire autant !...
Je vais mettre un (tout)petit bémol : j'ai l'impression que les routes sont désespérément en ligne quasiment droite -certes, pas mal "ondulées"- il me manquerait mes incontournables lacets Alpins...
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Sans cap, tous les vents sont contraires....
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Re: Chili
De ne pas pouvoir ou plutot de ne pas vouloir ?CYCLOHC a écrit : ↑lun. 4 déc. 2017 13:39 Toujours de belles couleurs !
Je vais mettre un (tout)petit bémol : j'ai l'impression que les routes sont désespérément en ligne quasiment droite -certes, pas mal "ondulées"- il me manquerait mes incontournables lacets Alpins...
...On se console comme on peut, de ne pas pouvoir en faire autant !...
A ton age, plus de 65 ans, le travail n'est pas/plus obligatoire, tu as donc tout le temps d'aller rouler avec Agnes
Les longues lignes droites ne sont pas deplaisantes si.................... le vent n'est pas contraire ;
deche a ne pas s'endormir sur le velo
Plus haut la route en gravillons, bonjour,... les Schwalbe ont encaisse, c'est sur mais n'ont surement pas aime.
Je prefere de loin mes routes en laterite a condition qu'il n'y ait pas de " tole ondulee "; quoique en velo, on peut l'eviter la tole ondulee, on n'a que deux roues. Par contre la poussiere on en bouffe un max et les pieces tournantes apprecient peu, vu que c'est particulierement abrasif.
Toutes mes photos avec Panasonic Lumix G 85 et zoom manuel de kit 14-42 ( 28 - 84 en equivalence 24x36 )
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Re: Chili
Ta remarque est intéressante, Henri.CYCLOHC a écrit : ↑lun. 4 déc. 2017 13:39 Toujours de belles couleurs !
Je vais mettre un (tout)petit bémol : j'ai l'impression que les routes sont désespérément en ligne quasiment droite -certes, pas mal "ondulées"- il me manquerait mes incontournables lacets Alpins...
...On se console comme on peut, de ne pas pouvoir en faire autant !...
Nous autres européens avons l'habitude de paysages façonnés par des siècles d'histoire rurale et d'histoire tout court.
Nos routes sont tracées dans un enchevêtrement cadastral et selon les contraintes de nos moyens de transports utilisés depuis des siècles, ce qui leur donne une propension à serpenter qui est formidable pour nous, cyclotouristes.
Dans les pays comme le Chili, l'Australie etc., avec d'immenses espaces vierges, quand ils font des routes , ils tracent au plus court et tolèrent des pentes calibrées pour convenir à des véhicules puissants, souvent 4x4. Donc pas forcément idéal pour les cyclos..
En plus, la vocation de ces voies de communication est le plus souvent de permettre les transports routiers de marchandises, voire de troupes. Donc forcément plus larges, avec des virages larges etc.
Pas mal d'étrangers viennent dans nos contrées pour le plaisir de rouler sur des routes adaptées à la pratique cyclo.
J'ai habité en Australie et là où j'étais je n'ai quasiment pas fait de vélo en dehors des villes: trop de distances, trop de routes larges et droites. Ca n'est pas la même chose partout mais dans l'ensemble, c'est un pays trop grand pour la pratique cyclotouriste comme nous la connaissons en Europe (avec du temps c'est autre chose).
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Angstrom
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Re: Chili
Ben voilà Michel, pour ne pas faire dans le Hors-Sujet sur ce récit qui m'emballe vraiment, je te réponds en ouvrant une petite question "philosophique"...
viewtopic.php?f=17&p=45646#p45646
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Re: Chili
Hola amigos !l
Merci à tous pour vos posts, ça me fait toujours plaisir de les lire et ça me motive pour continuer à vous envoyer des nouvelles. Merci aussi encore bien sûr Angström pour les photos que tu postes pour moi.
Alors d'abord, je réponds :
1)à propos des pneus, Daloz, j'ai pris avec moi, depuis la France, des Schwalbe Marathon et c'est bien sûr avec ceux-là que je roule. Les pneus qui sont sur mon porte-bagages sont les pneus d'origine. Comme je compte revendre mon vélo à la fin du voyage, je remettrai les pneus d'origine car je souhaite revenir en France avec mes pneus (ils sont cher et seront peu usés).
2)Bababobo, ce ne sont pas seulement des problèmes de temps qui peuvent empêcher . Cyclohc de partir... Et je suis bien contente de lire que ce récit emballe ceux qui, quelle qu'en soiit la raison, ne peuvent pas partir (et au
3)Cyclohc : pour l'instant je ne trouve pas les routes si rectilignes que ça, j'ai peut-être mis plus de photos avec des longues lignes droites car je trouve ça assez photogénique. Plus dans le sud, à partir de Puerto Natales, là ce sera vraiment trèèès long et trèèèès droit.
Merci à tous pour vos posts, ça me fait toujours plaisir de les lire et ça me motive pour continuer à vous envoyer des nouvelles. Merci aussi encore bien sûr Angström pour les photos que tu postes pour moi.
Alors d'abord, je réponds :
1)à propos des pneus, Daloz, j'ai pris avec moi, depuis la France, des Schwalbe Marathon et c'est bien sûr avec ceux-là que je roule. Les pneus qui sont sur mon porte-bagages sont les pneus d'origine. Comme je compte revendre mon vélo à la fin du voyage, je remettrai les pneus d'origine car je souhaite revenir en France avec mes pneus (ils sont cher et seront peu usés).
2)Bababobo, ce ne sont pas seulement des problèmes de temps qui peuvent empêcher . Cyclohc de partir... Et je suis bien contente de lire que ce récit emballe ceux qui, quelle qu'en soiit la raison, ne peuvent pas partir (et au
3)Cyclohc : pour l'instant je ne trouve pas les routes si rectilignes que ça, j'ai peut-être mis plus de photos avec des longues lignes droites car je trouve ça assez photogénique. Plus dans le sud, à partir de Puerto Natales, là ce sera vraiment trèèès long et trèèèès droit.
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Re: Chili
Bon, donc j'ai quitté l'île de Chiloéje ne sais plus quand, et je suis arrivée à Chaitén, ravie - le mot est faible - de pédaler enfin sur la carretera austral. Je peux vous dire que je ne suis pas déçue. Je n'exagère pas si je dis que c'est un enchantement permanent. Montagnes, volcans, sommets enneigés, brume matinale, cascades en veux-tu en voilà, torrents, champs de lupins à perte de vue, c'est grandiose. J'adore. Évidemment il y a le ripio, évidemment il y a des côte, mais tout ça passe bien grâce à l'extrême beauté des paysages. Très peu de circulation, la sensation souvent d'être seule au monde, beaucoup de chants d'oiseaux. J'adore et je savoure. Physiquement c'est pas de la tarte, je fais des nuits de 11 heures, mais chasue mmatin c'est jn réel et immense bonheur de remettre ça. Je ne veux pas que ça s'arrête, c'est trop beau. Je rencontre quelques cyclos, le courant passe très bien. J'ai adoré le parc natuonal Queulat et son glacier suspendu. Ses fougères aussi. Et tout le reste. J'ai adoré le fjord Queulat. Ce matin-là j'étais partie très tôt pour bénéficier des superbes lumières et j'ai eu la chance de découvrir ce fjord un peu dans la brule et surtout dans des lumières à tomber par terre (entre parenthèses ça a failli m'arriver car le ripio est casse-gueule quand le vélo s'enfonce et dérape). C'est bête à dire mais c'est tellement beau que c'en est souvent émouvant et je parle de plus en plus à mon vélo pour partager mes émotions J'ai vu un colibri vert métallique, c'était extra. Là je suis arrivée hier à Coyhaique, la capitale de la région d'Aysén (selon moi la plus belle région du Chili, ensuite toujours selon moi la plus belle c'est la région des lacs et volcans). J'y reste deux jours pour me reposer car maintenant devrait arriver le plus dur physiquement Mais c'est tellement époustouflant que je prévois un aller retour sur du ripio quand je serai à Puerto Río Tranquilo pour aller dans ce qui s'appelle "el valle Exploradores", en direction de la lagune San Rafael. Enfin ça dépendra aussi de la météo car là ça se gâte. Mais je veux prolonger le plaisir et n'ai aucune envie de quitter cette splendide région. Dnailleurs je regrette de ne pas avoir fait un crichet pour aller voir les dauphins à Puerto Cisnes, mais c'est facile à dire après, j'avais peur de casser un rayon. Je voulais faire réparer et réviser mon vélo à Coyhaique, mais dans l'hôtel -camping où je suis actuellement j'ai rencontré un coup'e dee Sud-Coréens adorables et Kang s'en est chargé. Il a créé sa marque de vélo en Corée (il l'a appelée "Miso", qui veut dire "sourire" en corén) et a importé des vélos japonais pendant plus de 30 ans, autant vous dire qu'il en connaît un rayon (ah ah ah, vous avez pigé le jeu de mots ?). Il a fait ce qu'il fallait â mes rayons et a aussi réglé les freins et le dérailleur et a vérifié tout le reste. Super ! Là ils voyagent tous les deux en moto mais ont fait plusieurs grands voyages à vélo. Pour le remercier je leur ai offert un petit vélo en fil de fer de ma fabrication et apparemment ça les a touchés. C'était encore une belle rencontre. Demain je reprends la route, en gros vers Cochrane. Il y a du vent et il fait frisquet (mais je suis toujours en sandales !) Je compte les garder le plus longtemps possible, par contre je vais probablement devoir troquer le short contre un pantalon...
Bref le voyage continue, je suis toujours émerveillée et ravie. Le vélo va bien, la cyclote aussi
Je pense ne plus donner de nouvelles avant un bout de temps pour cause de connexion (fait voir comme c'est désert et perdu par où je passe...).
Portez-vous bien !
Bref le voyage continue, je suis toujours émerveillée et ravie. Le vélo va bien, la cyclote aussi
Je pense ne plus donner de nouvelles avant un bout de temps pour cause de connexion (fait voir comme c'est désert et perdu par où je passe...).
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- Inscription : jeu. 15 déc. 2005 18:10
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Re: Chili
je ne sais pas si tu es au courant mais johnny Hallyday est mort et obsèques grandiose a paris ce jour mais j ai pris le temps de te lire ce soir et regarder la cacte! appremment tout se passe bien avec meme un reparateur coréen! et toujours de belles choses mais le temps se gate et plus frais..fini la chaleur
bonne route a bientot
bonne route a bientot
michel,cinqtoursgrandscolsalpespassion
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- Inscription : jeu. 4 févr. 2010 22:18
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Re: Chili
Bonsoir. Je viens de regarder ton périple sur la carte (merci Vincent) là on peu mettre des kilomètres sur tes mots et c'est impressionnant quel périple et quelle région. L'été prochain il te reste plus qu'à monter au Cap Nord après le Cap Horn. Je te souhaite tout de bon pour la suite
A+ Phil
A+ Phil
On ne possède vraiment que ce que l'on sait...
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Re: Chili
Hola amigos !
Quelques nouvelles depuis Coyhaique. Je suis passée par Villa Cerro Castillo, puis Murta, puis Puerto Tranquilo, un petit détour par la somptueuse vallée Exploradores, retour à Puerto Tranquilo et hier je suis arrivée à Puerto Bertrand. Depuis Cerro Castillo il n'y a plus du tout de bitume, uniquement du ripio, mais on s'habitue à tout ! Physiquement j'en bave (hier, par exemple, 10 heures pour 70 km), mais c'est toujours incroyablement beau. Il y a eu deux journées sensationnelles (je veux dire, encore plus sensationnelles que d'habitude !) : le trajet Puerto Murta - Puerto Tranquilo, et les 50 premiers km del Valle Exploradores, qui là était tout simplement féerique. Murta-Puerto Tranquilo : des vues incroyables sur le lac General Carrera (le plus grand lac du Chili et le 2e d'Amérique du Sud après le Titicaca). Il a des couleurs émeraude, turquoise avec une pléthore de dégradés, c'est magnifique. Et toujours bien sûr des cascades, des torrents, des lupins, des églantiers... Quant aux 50 premiers km del Valle Exploradores, il réunit tout ce qui est magnifique : des cascades partout, dont certaines font p'usieurs centaines de mètres, des torrents, des troncs d'arbres remplis de fleurs grimpantes, des colibris, des glaciers, des lacs... C'est tout bonnement incroyable. Sinon le ripio est parfois terrible et vraiment je souffre. Les côtes aussi. La chaleur aussi. Même si dans la vallée Exploradores, à l'approche des glaciers, j'ai eu très froid (grêle, mélange de pluie-neige et vent qui transperce les oreilles). Il y a souvent pas mal de vent. Une grosse rafale m'a mise par terre. Il y a aussi des taons qui me rendent dingue. Demain je serai à Cochrane. Ma roue avant est voilée because beaucoup de tôle ondulée et de trous que je ne peux pas toujours éviter. Après Cochrane c'est atroce car il ne me restera plus que 125 km pour arriver à Caleta Tortel + 25 pour Puerto Yungay, fin pour moi de la carretera austral puisque c'est de là que je prendrai le bateau pour Puerto Natales. Et cette carretera austral, je ne veux pas la terminer déjà...
Quelques nouvelles depuis Coyhaique. Je suis passée par Villa Cerro Castillo, puis Murta, puis Puerto Tranquilo, un petit détour par la somptueuse vallée Exploradores, retour à Puerto Tranquilo et hier je suis arrivée à Puerto Bertrand. Depuis Cerro Castillo il n'y a plus du tout de bitume, uniquement du ripio, mais on s'habitue à tout ! Physiquement j'en bave (hier, par exemple, 10 heures pour 70 km), mais c'est toujours incroyablement beau. Il y a eu deux journées sensationnelles (je veux dire, encore plus sensationnelles que d'habitude !) : le trajet Puerto Murta - Puerto Tranquilo, et les 50 premiers km del Valle Exploradores, qui là était tout simplement féerique. Murta-Puerto Tranquilo : des vues incroyables sur le lac General Carrera (le plus grand lac du Chili et le 2e d'Amérique du Sud après le Titicaca). Il a des couleurs émeraude, turquoise avec une pléthore de dégradés, c'est magnifique. Et toujours bien sûr des cascades, des torrents, des lupins, des églantiers... Quant aux 50 premiers km del Valle Exploradores, il réunit tout ce qui est magnifique : des cascades partout, dont certaines font p'usieurs centaines de mètres, des torrents, des troncs d'arbres remplis de fleurs grimpantes, des colibris, des glaciers, des lacs... C'est tout bonnement incroyable. Sinon le ripio est parfois terrible et vraiment je souffre. Les côtes aussi. La chaleur aussi. Même si dans la vallée Exploradores, à l'approche des glaciers, j'ai eu très froid (grêle, mélange de pluie-neige et vent qui transperce les oreilles). Il y a souvent pas mal de vent. Une grosse rafale m'a mise par terre. Il y a aussi des taons qui me rendent dingue. Demain je serai à Cochrane. Ma roue avant est voilée because beaucoup de tôle ondulée et de trous que je ne peux pas toujours éviter. Après Cochrane c'est atroce car il ne me restera plus que 125 km pour arriver à Caleta Tortel + 25 pour Puerto Yungay, fin pour moi de la carretera austral puisque c'est de là que je prendrai le bateau pour Puerto Natales. Et cette carretera austral, je ne veux pas la terminer déjà...