Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
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Re: Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
Bravo Egareg pour ce premier BRM...
C'est sûr que rouler sur des brevets de Stéphane c'est un plus... jeune cyclo qui fait bouger actuellement les lignes la FFV (ex FFCT)... tout du moins en longue distance...
Tu as eu le nez creux de valider l'an dernier un 600... car le succès mondial de ce PBP va faire certainement cette fois des déçus... déjà plus de 5000 réservations sur 6300 possibles...
Mais pourquoi tu crèves si souvent ? en LD, il y a des pneus increvables...
Je ne connaissais pas l'histoire de l'inondation créée par les Allemands... je sais par contre que pour la bataille des haies (près de St Lô) les alliés avaient peiné pour faire progresser leurs chars dans le bocage...
Comme pour traverser un chemin en creux... (appelée cavée en pays de Caux...)
Comme ici...
Belle cavée à St Laurent du Brèvedent by Michel Donnet, sur Flickr
C'est sûr que rouler sur des brevets de Stéphane c'est un plus... jeune cyclo qui fait bouger actuellement les lignes la FFV (ex FFCT)... tout du moins en longue distance...
Tu as eu le nez creux de valider l'an dernier un 600... car le succès mondial de ce PBP va faire certainement cette fois des déçus... déjà plus de 5000 réservations sur 6300 possibles...
Mais pourquoi tu crèves si souvent ? en LD, il y a des pneus increvables...
Je ne connaissais pas l'histoire de l'inondation créée par les Allemands... je sais par contre que pour la bataille des haies (près de St Lô) les alliés avaient peiné pour faire progresser leurs chars dans le bocage...
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Re: Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
Si tu a l'occasion de revoir le film "Le jour le plus long" cette anecdote est présente lorsque les commandos charger d'infiltrer les lignes ennemies atterrissent en planeur et à parachuteBeuzeville 130 a écrit : ↑jeu. 14 févr. 2019 19:11 Bravo Egareg pour ce premier BRM...
Je ne connaissais pas l'histoire de l'inondation créée par les Allemands... je sais par contre que pour la bataille des haies (près de St Lô) les alliés avaient peiné pour faire progresser leurs chars dans le bocage...
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Re: Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
C'est sûr que le rapport risque/poids de 2 rustines et un petit tube de dissolution est imbattable!
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Re: Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
3 crevaisons en 8000 km, le ration reste raisonnable...Beuzeville 130 a écrit : ↑jeu. 14 févr. 2019 19:11
Mais pourquoi tu crèves si souvent ? en LD, il y a des pneus increvables...
Le problème c'est que ces 3 crevaisons se sont concentrées sur les deux dernières sorties, prouvant ainsi que le pneu arrière avait fait son temps. Il a peut-être été vexé que j'en commande de nouveaux avant d'avoir vu la moindre crevaison.
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Re: Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
Et voilà le BRM 300 validé !
Ne pouvant être disponible pour la date officielle du 23 mars, Stéphane l'organisateur m'a proposé de l'accompagner sur sa sortie de reconnaissance du BRM 300 "Cap ou pas Cap". Etant licencié dans le même club, cela est autorisé par l'ACP.
Nous sommes donc sortis rouler entre deux coups de vent le vendredi 1er mars. Et j'ai commencé ma balade dès le jeudi soir en faisant du vélo + train depuis la maison. Nous ferons quelques entorses au parcours final, mais le total arrive à 311 km et c'est le jeu du repérage.
Nous partirons en effet de chez Stéphane pour rallier directement Cherbourg. En partant à 5h, nous passerons donc avec un peu d'avance par rapport aux participants qui partiront de Montebourg : en sortant de Cherbourg, nous avons une quinzaine de kilomètres au compteur au lieu de 75. Comme en plus le soleil se lèvera plus tôt et se couchera plus tard, les paysages seront sûrement plus visibles.
Dès le début, les ennuis commencent : je m'arrête en plein élan dans une courte montée en regardant un serpent argenté s'allonger sur le bitume... Ma chaîne veut faire la grève ! Elle a 1000 km seulement et un maillon rapide fourni par Stéphane nous autorise à repartir. Faire une pause de 8 minutes au bout de 10 minutes de pédalage, ce n'est pas très rentable pour la moyenne !
La chaîne me laissera tranquille pendant le reste de la balade, à part un tic-tic à chaque tour de chaîne, mais le vent dans le nez, on n'entend rien.
Le vent, justement, nous rappelle sa présence lorsqu'on aborde la piste cyclable qui longe la rade de Cherbourg : sur le plat, il se fait présent. Mais lorsque l'on aborde les premières montées après Urville-Nacqueville, on retrouve un peu d'abri. On passera sans s'arrêter au niveau du point de vue de Landemer : de nuit, on voit moins loin. Mais de jour, ça vaut vraiment le coup d'œil.
Photos prises le lendemain matin à Landemer :
Cette route des caps que l'on va suivre assez longtemps, je l'avais déjà testée à vélo entre la Hague et Urville. Cette fois-ci, je l'emprunte dans l'autre sens : les montées où j'avais peiné se changent en descentes rapides, mais les descentes deviennent symétriquement des montées... C'est loin d'être plat !
On descend vers Omonville et on remonte à Port Racine pour redescendre gentiment vers Goury et le phare qui nous fait face.
Des pêcheurs s'activent déjà sur la cale alors que le ciel est encore noir. Le soleil ne commencera à blanchir le ciel que lorsqu'on atteindra les treize-vents, nous laissant ainsi profiter du panorama qui s'étend à nos pieds avec la longue plage de Vauville. On plonge ensuite dans le vallon en alternant coup d'œil sur le paysage, coup d'œil sur la route en gardant les mains sur les freins. La route s'écarte de la mer et commence à monter dans une ambiance de presque montagne : un ruisseau qui court au milieu de prés délimités par des murets en pierres sèches.
Comme dans toutes les montées, Stéphane caracole en tête sur son mono-vitesse. Il aura la patience de m'attendre à chaque fois et ici, il a trouvé un prétexte naturaliste : photographier une salamandre et la remettre en sécurité à côté de la route. La pause permet de terminer la rude montée.
8h30, nous nous arrêtons à Vasteville pour un chocolat chaud et remplissage des bidons... Je ne devais pas être encore suffisamment réveillé puisque j'ai oublié un bidon et m'en suis aperçu lorsqu'on était déjà trop loin pour faire demi-tour.
Après cette pause, nous redescendons vers la côte : Siouville, Diélette, Flamanville. Et nous piquons quasiment plein sud vers le second pointage : le phare de Carteret, qui se mérite également : une belle rue en pente permet de sortir du bourg. Stéphane est donc déjà arrivé quand je pose mon vélo le long du muret. Jolie vue sur la plage de Carteret en repartant du phare.
On profite de faire un petit détour pour commencer le teasing du BRM 600 avec la Mère Denis. Passé Portbail, on enchaîne une vingtaine de kilomètres sur la D650. C'est probablement la partie la moins agréable du parcours car c'est assez monotone...
Heureusement, nous arrivons à Gouville où Stéphane plante les freins dès que son regard exercé a repéré le marché avec le grilleur de saucisses. D'autant plus qu'il est 12h30 et nous commençons à déguster nos sandwiches chauds pendant que la file des habitués s'allonge. Une fois rassasiés, nous reprenons la route, toujours cap au sud vers la pointe d'Agon, notre troisième pointage. La mer est basse et on pourrait presque traverser à pied, mais cela ne nous servirait pas à grand'chose puisqu'à partir d'Agon, nous piquons tout droit à travers les terres vers Monthuchon et Carentan, en commençant par Tourville.
Nous nous arrêterons d'ailleurs dans un café qui fait l'angle de la route à Monthuchon, quasiment le point culminant du parcours.
La descente est rafraîchissante, mais la route est très agréable.
En arrivant près des marais, nous rencontrerons 2 cigognes : arrêt photo obligatoire ! Mais, au final, j'aurais eu besoin d'un zoom sur mon téléphone...
Ensuite, la route continue vers Carentan et Stéphane choisit d'explorer une variante pour mieux profiter du centre ville : nous passerons donc pas l'écluse de la Barquette. Avant cela, nous nous accordons encore une autre pause ravitaillement : du salé à emporter dans nos sacoches et du sucré pour tout de suite, accompagné de deux grands chocolats chauds. C'est la même boulangerie que lors de notre dodécaudax de janvier ; j'y avais apprécié le Paris-Brest, cette fois-ci c'est Stéphane qui s'y colle.
L'écluse de la Barquette, juste après Carentan.
De là, la route est vraiment plate et vide. Aucun relief, on se sent presque perdu au milieu de nulle part.
Mais la cale du Grand Vey se découvre enfin dans un virage de la route. Nous n'avons pas les yeux assez perçants pour repérer les phoques qui peuplent cette baie. Nous restons toujours sur le plat en longeant la plage (Utah Beach, Quinéville, Morsalines, Quettehou, Barfleur). Le soir tombe peu à peu et j'allume mon phare avant d'arriver au port de Barfleur.
Toutes les lumières sont allumées lorsqu'on arrive.
Il nous reste ensuite notre dernier pointage avant de rentrer faire dodo : le phare de Gatteville.
Mais ce n'est pas le plus dur. Le plus pénible pour moi auront été ces montées dans les derniers 25 kilomètres : Fermanville et la toute dernière pour arriver jusqu'à la maison de Stéphane. Et puis le vent, qui, à partir de Gatteville, n'était plus du tout un allié.
Heureusement, nous faisons une dernière pause dans un café qui me redonnera un peu d'énergie.
Au final, nous avons enchaîné 311 km en quasiment 17h (16h54 pour être précis). J'ai clairement ralenti Stéphane qui finissait toutes les montées devant moi. Merci à lui d'avoir été aussi patient.
Une bonne nuit de sommeil, une grasse mat' même et je suis reparti pour une balade vers la Hague chez mon cousin avec plus de vent, mais plus de soleil aussi.
Maintenant que les 200 et 300 sont faits, quand est-ce qu'on fait le 400 ?
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Nous sommes donc sortis rouler entre deux coups de vent le vendredi 1er mars. Et j'ai commencé ma balade dès le jeudi soir en faisant du vélo + train depuis la maison. Nous ferons quelques entorses au parcours final, mais le total arrive à 311 km et c'est le jeu du repérage.
Nous partirons en effet de chez Stéphane pour rallier directement Cherbourg. En partant à 5h, nous passerons donc avec un peu d'avance par rapport aux participants qui partiront de Montebourg : en sortant de Cherbourg, nous avons une quinzaine de kilomètres au compteur au lieu de 75. Comme en plus le soleil se lèvera plus tôt et se couchera plus tard, les paysages seront sûrement plus visibles.
Dès le début, les ennuis commencent : je m'arrête en plein élan dans une courte montée en regardant un serpent argenté s'allonger sur le bitume... Ma chaîne veut faire la grève ! Elle a 1000 km seulement et un maillon rapide fourni par Stéphane nous autorise à repartir. Faire une pause de 8 minutes au bout de 10 minutes de pédalage, ce n'est pas très rentable pour la moyenne !
La chaîne me laissera tranquille pendant le reste de la balade, à part un tic-tic à chaque tour de chaîne, mais le vent dans le nez, on n'entend rien.
Le vent, justement, nous rappelle sa présence lorsqu'on aborde la piste cyclable qui longe la rade de Cherbourg : sur le plat, il se fait présent. Mais lorsque l'on aborde les premières montées après Urville-Nacqueville, on retrouve un peu d'abri. On passera sans s'arrêter au niveau du point de vue de Landemer : de nuit, on voit moins loin. Mais de jour, ça vaut vraiment le coup d'œil.
Photos prises le lendemain matin à Landemer :
Cette route des caps que l'on va suivre assez longtemps, je l'avais déjà testée à vélo entre la Hague et Urville. Cette fois-ci, je l'emprunte dans l'autre sens : les montées où j'avais peiné se changent en descentes rapides, mais les descentes deviennent symétriquement des montées... C'est loin d'être plat !
On descend vers Omonville et on remonte à Port Racine pour redescendre gentiment vers Goury et le phare qui nous fait face.
Des pêcheurs s'activent déjà sur la cale alors que le ciel est encore noir. Le soleil ne commencera à blanchir le ciel que lorsqu'on atteindra les treize-vents, nous laissant ainsi profiter du panorama qui s'étend à nos pieds avec la longue plage de Vauville. On plonge ensuite dans le vallon en alternant coup d'œil sur le paysage, coup d'œil sur la route en gardant les mains sur les freins. La route s'écarte de la mer et commence à monter dans une ambiance de presque montagne : un ruisseau qui court au milieu de prés délimités par des murets en pierres sèches.
Comme dans toutes les montées, Stéphane caracole en tête sur son mono-vitesse. Il aura la patience de m'attendre à chaque fois et ici, il a trouvé un prétexte naturaliste : photographier une salamandre et la remettre en sécurité à côté de la route. La pause permet de terminer la rude montée.
8h30, nous nous arrêtons à Vasteville pour un chocolat chaud et remplissage des bidons... Je ne devais pas être encore suffisamment réveillé puisque j'ai oublié un bidon et m'en suis aperçu lorsqu'on était déjà trop loin pour faire demi-tour.
Après cette pause, nous redescendons vers la côte : Siouville, Diélette, Flamanville. Et nous piquons quasiment plein sud vers le second pointage : le phare de Carteret, qui se mérite également : une belle rue en pente permet de sortir du bourg. Stéphane est donc déjà arrivé quand je pose mon vélo le long du muret. Jolie vue sur la plage de Carteret en repartant du phare.
On profite de faire un petit détour pour commencer le teasing du BRM 600 avec la Mère Denis. Passé Portbail, on enchaîne une vingtaine de kilomètres sur la D650. C'est probablement la partie la moins agréable du parcours car c'est assez monotone...
Heureusement, nous arrivons à Gouville où Stéphane plante les freins dès que son regard exercé a repéré le marché avec le grilleur de saucisses. D'autant plus qu'il est 12h30 et nous commençons à déguster nos sandwiches chauds pendant que la file des habitués s'allonge. Une fois rassasiés, nous reprenons la route, toujours cap au sud vers la pointe d'Agon, notre troisième pointage. La mer est basse et on pourrait presque traverser à pied, mais cela ne nous servirait pas à grand'chose puisqu'à partir d'Agon, nous piquons tout droit à travers les terres vers Monthuchon et Carentan, en commençant par Tourville.
Nous nous arrêterons d'ailleurs dans un café qui fait l'angle de la route à Monthuchon, quasiment le point culminant du parcours.
La descente est rafraîchissante, mais la route est très agréable.
En arrivant près des marais, nous rencontrerons 2 cigognes : arrêt photo obligatoire ! Mais, au final, j'aurais eu besoin d'un zoom sur mon téléphone...
Ensuite, la route continue vers Carentan et Stéphane choisit d'explorer une variante pour mieux profiter du centre ville : nous passerons donc pas l'écluse de la Barquette. Avant cela, nous nous accordons encore une autre pause ravitaillement : du salé à emporter dans nos sacoches et du sucré pour tout de suite, accompagné de deux grands chocolats chauds. C'est la même boulangerie que lors de notre dodécaudax de janvier ; j'y avais apprécié le Paris-Brest, cette fois-ci c'est Stéphane qui s'y colle.
L'écluse de la Barquette, juste après Carentan.
De là, la route est vraiment plate et vide. Aucun relief, on se sent presque perdu au milieu de nulle part.
Mais la cale du Grand Vey se découvre enfin dans un virage de la route. Nous n'avons pas les yeux assez perçants pour repérer les phoques qui peuplent cette baie. Nous restons toujours sur le plat en longeant la plage (Utah Beach, Quinéville, Morsalines, Quettehou, Barfleur). Le soir tombe peu à peu et j'allume mon phare avant d'arriver au port de Barfleur.
Toutes les lumières sont allumées lorsqu'on arrive.
Il nous reste ensuite notre dernier pointage avant de rentrer faire dodo : le phare de Gatteville.
Mais ce n'est pas le plus dur. Le plus pénible pour moi auront été ces montées dans les derniers 25 kilomètres : Fermanville et la toute dernière pour arriver jusqu'à la maison de Stéphane. Et puis le vent, qui, à partir de Gatteville, n'était plus du tout un allié.
Heureusement, nous faisons une dernière pause dans un café qui me redonnera un peu d'énergie.
Au final, nous avons enchaîné 311 km en quasiment 17h (16h54 pour être précis). J'ai clairement ralenti Stéphane qui finissait toutes les montées devant moi. Merci à lui d'avoir été aussi patient.
Une bonne nuit de sommeil, une grasse mat' même et je suis reparti pour une balade vers la Hague chez mon cousin avec plus de vent, mais plus de soleil aussi.
Maintenant que les 200 et 300 sont faits, quand est-ce qu'on fait le 400 ?
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Re: Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
Salut,
Merci pour le compte-rendu
Bravo !
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Re: Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
trop fort ! merci pour le récit, c'est bluffant d'enquiller toutes ces bornes ! respect !
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Re: Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
Et bien... c'est parti du tonnerre ! Déjà 200 et 300 au 3 mars... tu dois être bien le seul en France.
pas de baie d'Ecalgrain ?
Bon vent pour le 400...
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Re: Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
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Re: Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
Je ne suis pas le seul en France : Stéphane a également validé le 200 et 300 aux mêmes dates que moi.Beuzeville 130 a écrit : ↑mer. 6 mars 2019 22:20 Et bien... c'est parti du tonnerre ! Déjà 200 et 300 au 3 mars... tu dois être bien le seul en France.
Pas de photo de la baie d'Ecalgrain : le soleil dormait encore derrière les nuages. Nos yeux acérés ont pu deviner les vagues tout en bas grâce à leur ourlet blanc, mais l'appareil photo du téléphone n'est pas assez sensible pour capter ces moments qui constituent de bons souvenirs pour les cyclistes.
De même qu'il est quasiment impossible de retranscrire les odeurs de la nuit qui nous disent si l'on s'approche de la mer ou si l'on longe une pâture avec des chevaux.
C'était particulièrement frappant autour de Barfleur : le type d'habitat, les senteurs de chou-fleur et de la mer toute proche... en fermant les yeux, je me retrouvais dans mon Léon breton.
Ben... du coup, d'avoir validé le 300 dès le 1er mars, je trouve que le 400 tarde à venir !
J'ai prévu de le faire le 11 mai. Ce sera le même parcours que celui que j'ai fait en 2017 (cf. viewtopic.php?f=1&t=5452&start=15#p43781) et j'ai un autre 300 prévu fin avril...
Il y a peut-être une option pour un BRM 400 plus tôt, toujours en accompagnant Stéphane l'organisateur.
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Re: Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
Habitant la Seine Maritime, je reconnais que la Manche est le plus magnifique des départements normands... et de loin.
Je connais bien du côté de Barneville Carteret et Porbail (des amis)...
Et comme tu es un peu local, tu as je pense entendu parler du documentaire "Paul dans sa vie" qui relate la vie simple et agricole de Paul Bedel (décédé en 2018). Et qui vivait pas loin de la baie d'Ecalgrain...
https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 47122.html
Une image du film c'est, Paul avec son cheval pour herser son champ et en arrière plan la COGEMA... tout un symbole !
Je connais bien du côté de Barneville Carteret et Porbail (des amis)...
Et comme tu es un peu local, tu as je pense entendu parler du documentaire "Paul dans sa vie" qui relate la vie simple et agricole de Paul Bedel (décédé en 2018). Et qui vivait pas loin de la baie d'Ecalgrain...
https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 47122.html
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Re: Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
Beuzeville 130 a écrit : ↑jeu. 7 mars 2019 11:12
Et comme tu es un peu local, tu as je pense entendu parler du documentaire "Paul dans sa vie" qui relate la vie simple et agricole de Paul Bedel (décédé en 2018).
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Re: Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
En tous cas, vous me donnez envie d'accélérer le projet que j'ai d'aller rouler là-bas (et de traverser la Manche pour continuer en Angleterre).Beuzeville 130 a écrit : ↑jeu. 7 mars 2019 11:12 Habitant la Seine Maritime, je reconnais que la Manche est le plus magnifique des départements normands... et de loin.
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Re: Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
A voir par celles et ceux qui sont tentés par l'aventure:
https://www.youtube.com/watch?v=XjTe5i07uRM
J'ai bien aimé le reportage on y voit bien que c'est un truc de ouf mais on y voit aussi que tout le quatuor de tête s'arrête dans la dernière heure avant d'arriver pour réparer la crevaison de l'un des quatre. C'est donc bien une randonnée. Respect pour ceux qui le bouclent en une quarantaine d'heures autant que pour ceux qui viennent juste de faire demi tour à Brest et qui finiront juste juste dans les dernières minutes. Ce doit être le genre d'expérience qui ne s'oublie pas. Si ce n'était pas si loin j'irais bien les encourager sur le parcours.
A+ Phil
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J'ai bien aimé le reportage on y voit bien que c'est un truc de ouf mais on y voit aussi que tout le quatuor de tête s'arrête dans la dernière heure avant d'arriver pour réparer la crevaison de l'un des quatre. C'est donc bien une randonnée. Respect pour ceux qui le bouclent en une quarantaine d'heures autant que pour ceux qui viennent juste de faire demi tour à Brest et qui finiront juste juste dans les dernières minutes. Ce doit être le genre d'expérience qui ne s'oublie pas. Si ce n'était pas si loin j'irais bien les encourager sur le parcours.
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Re: Et si je tentais Paris-Brest-Paris ?
Aloha, je viens de prendre une grande décision ! Je prépare le Paris Brest Paris qui aura lieu dans quatre ans... C'est décidé en accord avec la famille... Quatre ans pour me préparer.
La paresse est un luxe abordable